Jeux entre frères (5)
Datte: 26/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... le troupeau et mis nos sacs dans la petite bergerie, nous pûmes faire une pause. — Antoine, on fait une pause casse-croute, j’ai faim. — Moi aussi, répondis-je. — Nous passerons toute la journée ici et ça te dirais de te mettre tout nu ? — Oh, oui, on va bronzer, c’est cool. Nous nous déshabillâmes aussitôt et, assis dans l’herbe, nous avions commencé à manger. Je dévorai mon casse-croute mais aussi les formes de ma cousine et je commençai alors àbander. Elle s’en aperçut et me jeta un regard aussi complice que coquin, puis posa son repas sur une serviette. Son regard se figea dans le mien et elle commença à se caresser les seins et me demanda : — Tu ne t’es jamais masturbé avec une fille ? Alors regarde mais ne me touche pas. Elle continua à se caresser les seins, ronds comme des ballons et certainement habitués à ce genre de traitement ; ses tétons pointèrent fièrement. Elle accompagnait ses gestes de gloussements étouffées mais qui s’amplifièrent quand elle atteignit savulve trempée de désir. Je bandais comme un diable et comme pour lui donner envie de continuer et d’aller plus loin, je l’imitai. Pendant que je faisais rouler mes tétons entre mon pouce et mon index, mon autre main s’était emparée de ma verge qui n’avait nul besoin d’être stimulée pour la forme d’un pieu pointant vers le ciel. Assise face à moi les jambes grandes ouvertes, elle s’enfilait deuxdoigts dans la chatte et se frottant les lèvres. Elle gémissait de plus en plus fort, ce qui avait pour effet de ...
... m’exciter de plus en plus et quand elle me fixa du regard en m’ordonnant d’une voix forte et autoritaire : — Branle-toi ! Cet ordre eut pour effet de me donner l’envie de lui gicler dessus ; alors je me suis branlé avec force. Elle ne me quittait pas des yeux, s’astiquait la chatte, se maltraitait les tétons et, au moment où je lui envoyais une puissante giclée de sperme sur son ventre, elle poussa un cri. Je la voyais se tordre de plaisir et jurer des : « Oh,putain ; que c’est bon ! ». Et moi, j’étais dans un état d’excitation avancé, une main secouant mon vit avec toute la force que je pouvais donner. Ma seconde main passait sur mes tétons que j’adorais maltraiter en les pinçant très fort ; mais j’aimais m’attraper les testicules et tirer dessus. J’avais découvert que la douleur de cet étirement retardait pour quelque temps l’éjaculation et quand je me détruisais les tétons, l’envie de tout envoyer revenait. Quand elle se mit à jouir, elle cria et jura aussi fort que lorsqu’elle appelait ses brebis. Heureusement que nous étions loin de toute habitation. Seules les montagnes pouvaient entendre les cris de plaisir de ma cousine. Voir ma cousine s’astiquer le minou, ses cris et les supplices que je m’infligeais, provoquèrent chez moi une réaction ; je lui envoyais une puissante giclée de sperme entre les seins. Elle ne pouvait pas mieux dire, que c’était bon cet orgasme. Je venais de découvrir le plaisir de cette masturbation. — Eh bien, mon cochon ; quand tu envoies, c’n’est pas ...