Jeux entre frères (5)
Datte: 26/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... pour rigoler. — Excuse-moi, je ne croyais pas que ça irait si loin. — C’n’est pas grave, au contraire, j’ai grave apprécié. Et, dis moi ça n’a plus l’air de te déranger de faire ça en famille ? — Non je crois que j’y prends goût et puis nous sommes entre nous. vgrvuute Une question me taraudait l’esprit, je pris une grande respiration et : — Dis-moi, Elsa, je voudrais te demander un truc ; mais c’est un peu compliqué. — Toi et Lyli, vous faites plein d’allusion au sujet de vous et vos parents, vous faites ça aussi avec eux ? Et si… — Si quoi, si on couche avec nos parents ? C’est ça ? — Oui, mais si tu ne veux pas le dire, tant pis. — D’accord, mais tu le gardes pour toi ; je te raconterai des trucs…à une condition. — Tout ce que tu veux cousine, je ferai ce que tu veux. — D’accord, vous êtes tous les mêmes les mecs : prêt à tout quand il s’agit de cul et je suis aussi certaine que tu as envie de faire ça avec ta mère, je me trompe ? — Non, répondis-je. Puis, je ne sais pas pourquoi, mais je me suis dévoilé. Je lui ai tout raconté, mes rêves incestueux, les jeux avec mon frère, les sites, mes envies et mes fantasmes. — Et bien, toi ! Tu vas voir comme on va bien s’amuser. Et puis si ta mère est aussi cochonne que son frère. Tu devrais lui en parler et t’occuper d’elle ; elle va en avoir besoin. — Tu crois ? — À toi de voir. Tu n’auras qu’à dire ce qu’on a fait, dis-le que ce n’est pas bien et qu’elle doit vous punir je suis certaine que ça va marcher. En attendant je vais ...
... te raconter deux ou trois trucs, mon cher petit esclave. — Pourquoi dis- tu : esclave ? — C’est ce que tu es devenu depuis que tu m’as dit que tu ferais tout ce que je veux. — Alors c’est d’accord. — Tu vas commencer par lécher ce que tu m’as envoyé entre les seins. Esclave ! Je devenais son jouet. Trop curieux de l’écouter me raconter, avide de connaitre de nouveaux plaisirs, mon vit se redressa vigoureusement et je l’arborais fièrement. À genoux entre ses jambes ouvertes et la vue de son abricot ouvert me donnaient qu’une envie ; celle de la pénétrer, d’effiler mon sexe au bord de l’explosion dans son écrin. — Lèche, tu as compris ; lèche ! Elle venait de crier cet ordre avec une telle force que je sursautai de surprise pendant qu’un frisson parcourait mon échine ; je m’agenouillai pour nettoyer ce que j’avais fait. Lécher les seins d’Elsa m’enchantait beaucoup plus que de devoir avaler mon sperme qui à chaque tentative me donnait des nausées. Faisant bon cœur contre mauvaise fortune, je m’attelai à la tâche et le nettoyage commença. Pour ne pas décevoir ma maîtresse, je lapai avec soin les milliards de têtards agglutinés dans des flaques éparses ; j’en découvris sur ses tétons qui eurent droit à un traitement de faveur. Pendant ce temps, je la sentais s’occuper de sa minette et pour mon plus grand plaisir : elle me malaxait les testicules et le sexe qui ne demandait qu’à grandir à nouveau. Quand il atteignit la taille réglementaire elle m’ordonna : — Viens mon cochon, ...