Scrupules disparus
Datte: 28/03/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
sauna,
intermast,
Oral
pénétratio,
ecriv_f,
Allongée sur le ventre, les mains ramenées sous le menton, les yeux clos, je m’abandonnais entres les mains expertes de François. Cet inconnu noir rencontré quelques heures auparavant me voyait nue et de ses mains larges, il me massa : chaque muscle de mon dos, de mes jambes passait entre ses doigts qui les détendit. Il commença par mon cou qu’il dégagea d’abord de ma coiffure blonde éparse. Il me faisait face aussi, chaque fois que j’ouvrais paresseusement les yeux, je voyais son pubis faiblement poilu orné de son appendice redevenu au repos mais malgré cela, sa taille flirtait avec celle d’un taureau. Ses doigs, à la base de mon crâne, derrière mon cou opéraient un régulier mouvement délicieux qui semblaient me détendre à tel point que mon cou sembla ne plus supporter le poids de mes soucis et de ma tête. J’ouvrais de temps à autre mes yeux sur la vision sublime de son pénis lourdement balancé par ses mouvements mais dès que je fais mine d’agiter la tête, François me serra faiblement le cou afin de me dissuader de prendre une quelconque initiative. J’obtempérais à chaque fois me repaissant de cette frustration du plaisir prolongé. Puis ayant achevé de me détendre le cou, François s’attaqua à mon dos. Il fit le tour de la table et s’installa sur moi, à califourchon, sur le bas de mon dos. Un frisson de plaisir parcourut mon échine lorsque je sentis le bout de son pénis et ses testicules, au gré de ses mouvements, se poser sur mon dos. Ses mains avaient repris leur travail ...
... en me massant lentement chaque parcelle de peau, de muscle … Il faillit m’arracher un orgasme lorsqu’il s’attaqua à la colonne vertébrale, tellement le sentiment de délectation fut accentué par le climat torride dans cette pénombre, seulement éclairée par un feu de cheminée. De plus, je sentis son gland sur mon dos se durcir, lentement mais sûrement. J’étais soufflée : assis presque sur mes fesses, ses testicules reposant sur le bas de mon dos, le bout de son pénis, je le sentais quasiment au niveau de la partie inférieure de mes omoplates. Je gémis, térrassée par ma pensée de plus en plus déstabilisée, envahie par des troubles on ne peut plus lubriques. Tout en continuant à me masser patiemment le cou, je me rendis compte que François ne voulait plus laisser retomber la tension de son sexe. Ce faisant il accompagnait les mouvements de ses mains sur mon dos de furtifs coups de reins dans le vide afin de masturber son pénis sur mon dos. Je sentis une trace de mouille un peu plus chaude saliver sur mon dos. Je ne pouvais participer à son bonheur, bloquée par son poids qui pesait sur mon bassin. Je me contentais alors de me caresser les cheveux et le cou, lascivement de mes mains seules libres de mouvement. À ce moment, par la seule volonté, j’aurais pu atteindre l’orgasme le plus dévastateur que je n’ai jamais eu mais je voulais garder tout cette frustration lente dans mon esprit et garder toute mon énergie pour le moment où, je n’en doute pas, François, se déchaînerait pour me ...