1. Scrupules disparus


    Datte: 28/03/2021, Catégories: fh, extracon, sauna, intermast, Oral pénétratio, ecriv_f,

    ... excitation latente insinua ses deux pouces entre mes grandes lèvres pour les masser fermement, les ouvrant, béants et affamés. La frustration du pénis de François posé sur mon dos libre et tentant devint une torture. Je gémis, outrée d’être ainsi encore et toujours délaissée alors même que tout mon corps s’est soumis et humilié à attendre que le mâle en prenne possession. François, imperturbable, avait maintenant ses deux pouces au plus profond de ma fleur intime, massant les parois de mon vagin par l’intérieur. Je m’agitais de plus en plus pour faciliter l’accès de François à ma pudeur foulée. J’étais ouverte, indécente, prête à me faire posséder par cet inconnu. Je relevais mon bassin, puis ondulait, mimant un acte sexuel dans le vide. Je l’espérait depuis que je l’ai vu dans ce bar ce noir, depuis presque dix heures. Je l’attendais depuis qu’il m’a invité dans son sauna, depuis deux heures. Deux heures de préliminaires !!! C’en était trop pour ma patience. Je lâchais, dans un souffle : — Viens … François ne répondit même pas, m’affichant son air méprisant du conquérant vainqueur devant sa proie le suppliant de l’épargner. Il continua à m’élargir de ses pouces. Je coulais comme une fontaine. Je gémis de frustration à nouveau. — Prends-moi … Hhhh … François continuait toujours à me masser les parois internes, lisses de ma mouille. Je n’en pouvais plus. Je tentais de reprendre le dessus sur mon indécence. — Non … Tu vas trop loin, laisse-moi. Mon corps esclave trahit mon ...
    ... désarroi : mes jambes s’écartèrent au maximum et je faillis tomber de la table si ce n’était François solidement assis sur mes épaules, me calant de ses cents kilos, m’écrasant tout contre la table de massage. Il se releva comme pour obtempérer à mes paroles. Je poussais un soupir autant de soulagement que de frustration. Mais lorsque je tentais de me relever, décidée à échapper aux mains du grand noir, il me saisit fermement aux épaules puis se coucha sur mon dos pour m’immobiliser : je sentis à nouveau son pubis armé de son braquemart appuyer sur mes fesses, se moulant dans son creuset … Je poussais à nouveau un soupir, plus résigné cette fois-ci. Je tournais à nouveau la tête pour tenter de le dissuader de continuer. La vision que le miroir du plafond me renvoyait me fit un choc qui me dissuada de protester : je vis un magnifique tableau digne d’un document animalier. Tel un prédateur achevant sa proie, François se soulevait légèrement de mon bassin oppressé pour faire glisser son épée noire ébène qu’on devinait seulement dans la semi-obscurité. Il la faisait glisser le long du creuset albâtre et lumineux de mes fesses. Il la présenta plus bas, dans l’ouverture qu’il s’était aménagé par ses massages. François le prédateur allait égorger Flower, sa proie. La petite oie blanche que je suis ravalla ses certitudes pourtant acquises des années auparavant auprès d’amants multiples : lorsqu’il plongea sa lourde massue à la longueur interminable dans l’étroit fourreau de ma chatte, je ...