1. La crampe


    Datte: 29/03/2021, Catégories: fh, jeunes, couple, forêt, cinéma, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, fsodo, init,

    J’étais, je crois, profondément endormi quand soudain des cris et des mouvements désordonnés me font sortir de ma léthargie. C’est curieux comme l’esprit réagit vite : en trois ou quatre secondes, je réalise que Martine est en proie à une crampe et qu’elle tente, comme elle peut, de la soulager. Rien à voir avec – comme certains pourraient penser – l’expression triviale « tirer sa crampe », bien qu’au sens propre il s’agisse effectivement de tirer sur le muscle pour l’allonger en luttant contre sa crispation. Comme je ne peux pas être d’une grande utilité, j’aurais très bien pu me tourner de l’autre côté et essayer de me rendormir, comme je faisais généralement dans ces cas-là. Mais cette fois, pas du tout : elle a réussi à allumer sa petite lampe de chevet, et sous la douleur, elle en a oublié toute pudeur, ce qui est inhabituel chez elle. Sa chemise de nuit largement relevée sur son ventre laisse voir son pubis sans aucune protection, et comme en plus elle a replié sa jambe pour étreindre son mollet, elle se retrouve cuisses écartées, presque en position pour s’offrir… Il faut vraiment qu’elle souffre pour s’oublier ainsi. — Tu veux que je te frotte ? lui dis-je.— Non, ça va aller… grimace-t-elle. J’avoue que je profite de la situation, un peu frustré par sa pudibonderie habituelle, presque maladive ; heureusement qu’il n’en a pas été toujours ainsi… Avec la lumière rasante de la lampe de chevet, son sexe de blonde laisse deviner tous ses secrets… et cela ravive ma ...
    ... mémoire. Je me souviens d’avoir déjà eu l’occasion d’admirer son sexe illuminé ainsi, laissant tout voir. Nous étions sur le bord de mer, assis sur des rochers, très amoureux bien sûr… Mais Martine était bloquée dans ses élans par des parents très restrictifs : l’honneur de la famille, la peur de voir leur fille tomber enceinte avant d’être mariée… Il fallait pourtant que je termine mes études avant de penser au mariage. Alors, en fille obéissante – ce qui est, il faut le reconnaître, plutôt rare – elle m’avait bien averti qu’il n’était pas question de faire l’amour. « J’ai juré à mes parents » m’avait-elle dit. Par contre, après quelques caresses au cinéma, elle avait très vite accepté de se laisser masturber – par-dessus la jupe. Elle m’avait fait comprendre qu’elle avait commencé très jeune à se le faire régulièrement, mais que j’étais le premier garçon à qui elle permettait de le lui faire, les autres garçons qu’elle avait connus avaient seulement eu droit à quelques baisers ; j’avoue que j’étais heureux d’être le premier, et espérais bien que je pourrais aller plus loin en dépit de sa promesse. Le printemps arrivant, avec des robes plus légères, je sentais mieux la forme de son sexe sous mes doigts au cinéma, mais pas question de passer sous la robe malgré de nombreuses tentatives. Cela a fini quand même par arriver, un samedi soir après le cinéma en la raccompagnant chez elle. En passant par une ruelle sombre, elle m’avait laissé passer ma main, et cette fois j’avais pu la ...
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