1. La crampe


    Datte: 29/03/2021, Catégories: fh, jeunes, couple, forêt, cinéma, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, fsodo, init,

    ... reins, ce qui m’excitait terriblement. Elle avait saisi mon sexe tendu à travers le pantalon et le frottait doucement… Il m’était facile de savoir où elle en était de ses sensations à la façon dont elle me frottait. Parfois le vent du large remontait sa jupe et je pouvais voir son sexe pendant quelques secondes avant qu’elle ne la rabaisse rapidement, au cas où quelqu’un viendrait. J’ai senti que sa jouissance approchait quand elle s’est accrochée fortement à mon sexe à travers le tissu… À ce moment-là, une saute de vent a relevé sa jupe haut sur son ventre, mais son orgasme était déclenché et elle est restée ainsi, le ventre et le sexe découverts. Elle s’est mise à gémir, une main sur la mienne pour appuyer mon doigt fortement sur son clitoris ; sur le dernier spasme, elle m’a descendu l’index juste à l’entrée de son vagin, encore vierge, et je sentis son petit anneau palpiter tout contre mon doigt. Avant qu’elle n’émerge, elle est restée pâmée, le sexe découvert, avec les rayons du soleil qui passaient à travers ses poils blonds, tout frisés, ne laissant rien ignorer de ses vallonnements secrets, son clitoris rose encore tout gonflé, et plus bas le petit endroit interdit. Bien sûr, quelques secondes plus tard, après avoir récupéré, elle s’est redressée avec un grand sourire, a rabattu sa jupe, a regardé tout autour s’il n’y avait toujours personne. — Je peux te branler ? J’avoue que j’ai été très surpris par ces mots très inhabituels ; avec elle, quand on parlait sexualité, ...
    ... il fallait toujours utiliser des circonvolutions de langage, et le verbe « faire » un peu abusivement… je l’ai « fait ». J’ai compris ensuite que pour elle il y avait deux mots différents : une fille se masturbe, et un garçon se branle. Elle m’avait donc tout naturellement proposé de me branler, et pas de me le « faire », ce qui était un grand progrès. Évidemment, je n’ai pas dit non à sa proposition ; elle a commencé à défaire mon pantalon, m’a pris en main et a commencé un mouvement de va-et-vient comme elle m’avait vu faire dans sa main la semaine précédente. Très intriguée par ce qu’elle avait aperçu la dernière fois, elle attendait le jaillissement du sperme ; si elle n’avait pas eu la main occupée, je crois bien qu’elle aurait applaudi, comme un enfant émerveillé par un feu d’artifice. Bien sûr, c’est arrivé ensuite assez souvent : dans la petite ruelle sombre, en sortant du cinéma, mais elle baissait seulement sa culotte au ras de son minou ; elle ne voulait jamais l’enlever au cas où quelqu’un arriverait. Elle avait déjà joui pendant le film, mais je la faisais jouir sans difficulté une deuxième fois. Elle s’occupait de moi après, sans doute pour pouvoir mieux profiter du moment où je giclais, ce qui la fascinait toujours. — Tu le « fais » des fois en pensant à moi ? m’a-t-elle demandé.— Oui… Ça m’arrive…— Moi, je le « fais » tous les soirs avant de m’endormir en pensant à toi ; et quand j’imagine que tu « le fait sortir », ça me fait jouir rien que d’y penser. Je ne ...
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