Folies sous les tropiques
Datte: 30/03/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
piscine,
voyage,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
confession,
occasion,
extraconj,
... bien, parce qu’ils l’auraient explosé tant les braquemarts sont du gros calibre. Ces dernières cogitations préludent au sommeil. Une odeur de café me réveille. Les rayons du soleil percent au travers des persiennes. Ma bouche est poisseuse. Des croûtes séchées collent un peu partout autour de mes lèvres, sur mes cuisses, sur mon pubis, mon ventre et même dans mes cheveux. La sueur, le musc et le stupre mêlent les odeurs un peu suries avec des effluves marins. Ma chatte épanouie bâille comme jamais. Les lèvres sont encore outrageusement gonflées. Le clitoris singe l’impudence d’un pénis érigé. La vulve bée comme le gosier d’un piaf qui attend la becquée. L’orifice vaginal, encore largement dilaté, dévoile une grotte tapissée de vermillon. La note chaleureuse modère l’éclat des chairs humides qui chatoient des rouges irisés comme un énorme rubis sous la lumière du néon. Le miroir mural me renvoie l’image de cette fleur monstrueuse qu’on pressent carnivore, nichée dans l’abri entre mes cuisses. Ce phénomène n’a rien de commun avec le minou que je connais. Les couleurs sont vives et les volumes extraordinaires. Un monstre ! oooOOOooo Boubacar, le co-loc, a ramené des croissants. Il me souhaite le bonjour et me tend un verre de jus d’orange, lequel est bienvenu. Le liquide dévale mon gosier ; il titille agréablement mes papilles. Je n’ai pas dormi plus de deux heures, mais je me sens bien. Je dévore le petit déjeuner qu’ils ont préparé puis file dare-dare sous la douche. Moctar, ...
... toujours aussi attentionné, se préoccupe de mon transport. Il a sollicité un collègue, un pharmacien, locataire dans le même immeuble et fort opportunément propriétaire d’une moto. Le jeune homme rapplique tandis que je finis de me sécher. Je ne joue pas les fausses pudeurs. Il ne me déplait pas de déambuler nue parmi les trois hommes. N’allez pas croire que j’ai l’habitude ! Ado, j’étais même plutôt pudique. Mais à vrai dire, jamais auparavant je n’ai connu une telle situation. Du reste, que puis-je faire d’autre ? La porte du petit cabinet de toilette a disparu si tant est qu’elle n’ait jamais existé. Mes vêtements sont éparpillés un peu partout. Disons que les circonstances autant que mon plaisir dictent ma bravade. Mes inhibitions ne sont pas mortes mais j’imagine qu’elles se planquent, tapies quelque part, et n’osent pas pointer le nez en terre étrangère. Et en définitive, elles me foutent la paix. Je me délure en toute liberté. Cela ne manque pas de piment… Des picotements caractéristiques agacent mon périnée. Il ne faudrait pas beaucoup pour me convaincre de m’allonger à nouveau. Les mâles ne semblent pas d’humeur libidineuse. Ils débattent dans leur langue incompréhensible. Tant pis pour eux ! J’enfile ma robe, chausse mes escarpins, clipse mes boucles d’oreille, ferme mon bracelet puis mon collier avant d’attraper mon sac à main. Un dernier coup de peigne. Je suis prête. Bisou ! Bisou ! Les adieux larmoient un peu. Nous reverrons-nous ? Pourquoi pas ! J’enfourche la ...