Folies sous les tropiques
Datte: 30/03/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
piscine,
voyage,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
confession,
occasion,
extraconj,
... sa moto puis me saisit par la taille avant de me donner le baiser de ma vie. Il œuvre avec une fougue à couper le souffle. Il me faut remonter à l’adolescence pour me remémorer tant d’impétuosité. Sa langue fouine, explore et vérifie chaque recoin avec grand soin. Tandis que nos appendices buccaux font connaissance, ses mains ne sont pas en reste. Elles caressent mes fesses, dénudent mes seins, tripotent le téton… De mon côté, je reprends le phallus en main et poursuis mon ouvrage. La fraîcheur du matin, le silence presque absolu, la luminosité éblouissante et ce linceul d’éternité qui couvre toutes choses, depuis les murs des enceintes jusqu’au gardien et aussi le feuillage de l’arbre sous lequel nous nous sommes garés, créent une sensation d’irréalité. Plus rien ne compte que lui et moi… La suite est inéluctable. Son pyjama et son slip gisent à ses pieds. Le sexe est dressé, fier et arrogant. Le mâle retrousse alors ma robe jusqu’à la taille. Sûr de sa force, il me soulève sans peine et m’adosse au tronc. J’écarte les cuisses autant qu’il m’est possible, mais sa prise ne m’autorise pas grande manœuvre. Il me pénètre d’un coup et commence les va-et-vient dans la foulée. L’intrusion est brutale, à couper le souffle, mais dans le même temps tout mon être appelle le supplice. Aucun tourment n’est assez vif ; aucune bourrade n’est trop bestiale que je ne veux encaisser. Ma réponse s’apparie au rythme de l’homme. J’en rajoute un peu, soucieuse de son plaisir. Quand la hampe de ...
... son phallus est profondément enfouie, je contracte mes abdominaux et les muscles de mon vagin, comme pour retenir la verge en mon sexe ce qui incidemment et à mon sens devrait produire un massage du gland du plus bel effet. Ma sœur aînée, experte en la matière, m’a enseigné le truc. Tous les mecs avec lesquels je l’ai essayé en raffolent. L’orgasme m’emporte un peu avant qu’il n’éjacule. Son membre crache peu après ; il tressaille longtemps jusqu’à m’embrouiller les tripes. Des idées bizarres me traversent l’esprit. Le risque d’être surprise ne me soucie pas un seul instant. Pire, la partie obscure de mon âme brûle de donner le spectacle de mon indignité. Ma déchéance m’excite tant et plus, et la pensée d’en rester là m’est insupportable. Je veux poursuivre. Je décide de requinquer la bête et prends position. Lui prend mes tempes entre ses paumes et accompagne le rythme pendant que je lui taille la pipe. La turgescence reprend de la vigueur. Je m’emballe pour ce jouet remarquable qui me semble plus gros et plus dur que tous ceux des hommes que j’ai connus. Cette comparaison me divertit fort et me donne encore à penser à ces légendes pas si fantasmagoriques qui me trottent dans la tête. L’évocation me communique encore plus d’entrain s’il se peut. L’organe est chaud, vivant et l’épiderme est souple et doux. Le gland bien dégagé luit sous les rayons du soleil. Le mâle piaffe, me redresse et me place en position, les mains en appui sur le siège de la moto. Il me prend en levrette ...