Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. (10)
Datte: 30/03/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
On passe quatre soirées torrides, et enfin arrive le samedi. Pour rappel, et pour faire court, je m’appelle Eric, j’ai soixante deux ans, et je passe quelques jours à Paris chez mon beau-frère, Christian, soixante-huit ans et veuf de ma regrettée sœur. On a rencontré Vanessa, une jeune et belle salope, une belle blonde de vingt-sept ans que j’ai connue sur internet où elle écrit sur mon site préféré. Elle est aussi vicieuse que dans ses récits, et cela fait une dizaine de jours que l’on s’offre des orgies en sa compagnie: sodomies profondes, animaux, inceste, on a tout réalisé avec son accord le plus total. On arrive maintenant à l’apothéose de notre rencontre, une partie organisée par son grand-père, un vieux salaud avec qui elle fornique sans retenue. On est samedi, le jour J, et mon beauf prend sa voiture pour nous amener tous les trois, lui, elle et moi, au point de rendez-vous. On a plus de deux heures de route, et on a décidé de rester sage; Vanessa m’a laissé la place devant, et est seule à l’arrière. On discute bien sûr de ce qui nous attend, et elle nous confie tout, à la fois excitée et inquiète. Elle a l’habitude des plans de son grand-père, avec trois hommes le plus souvent, sans oublier les chevaux. Mais cette fois il l’a prévenue qu’elle ne sera pas la seule femelle et que par conséquent il y aura plus de mâles. Ce n’est pas le nombre de participants qui la gêne, très loin sans doute de son record, ni le fait qu’il y ait une autre femme, puisqu’elle est bi et ...
... aime autant un sexe que l’autre. Ce qui l’embête c’est que cette femme soit sa mère, si elle a bien compris les sous-entendus de son grand-père. On roule toujours, et son téléphone sonne: — Allo, maman! — .................... — Oui, on est parti il y a une heure environ. — .................... — Oui, il m’a tout raconté papy, et il a dû tout te dire aussi à mon sujet. J’ai honte maman, tu dois m’en vouloir. — ................................ — Oh merci maman chérie, ça me soulage tout ce que tu me dis. Alors tu ne m’en veux pas, même pour papa? — ............................ — Oui, il n’a pas menti papy, j’adore les femmes autant que les hommes, et je veux bien baiser avec toi puisque tu me le demandes. J’ai envie de toi maman, autant que tu as envie de moi. — ................................. Ok, à tout à l’heure. Je t’aime maman, plus que jamais. Elle est toute heureuse, soulagée de l’appel de sa mère. Elle sait que tout va bien se passer et que sa maman est impatiente de la serrer dans ses bras, et bien plus. Elle nous raconte comment se passaient les précédentes rencontres, nous fait bander et se fait sans doute mouiller. Dix heures vingt on arrive devant un grand portail, elle a une télécommande, on le franchit et il se referme derrière nous. On est dans une grande propriété et on s’avance jusqu’à un grand hangar. On descend de voiture, on s’avance et on s’arrête stupéfait, bien que s’attendant à quelque chose du genre. Il y a quatre hommes nus, affalés sur des chaises de ...