Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. (10)
Datte: 30/03/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... la motivation. On a prévu un après-midi zoophile, avec des chevaux, comme elles en ont l’habitude. Elles vont se faire saillir toutes les deux, et on tire au sort pour savoir laquelle sera la première; c’est la mère. On ne s’est pas rhabillé pour la pause déjeuner, on est toujours tous à poil, prêt à reprendre. La mère est une vaginale hors norme, avec une choune d’une ampleur charnelle incroyable, et une femme fontaine de première. On se lève , et elle se retourne pour s’offrir à nous en levrette. On va tous la prendre vite fait, plusieurs fois, pour la préparer pour son amant à quatre pattes. A chaque fois que l’un de nous se retire pour libérer sa fente pour le suivant, Vanessa s’empresse de sucer son manche couvert de la mouille maternelle. Le grand-père, toujours lui, prend un énorme gode ceinture dans un tiroir, et s’adresse à sa petite fille: — Tiens ma chérie, mets ça, et tu vas baiser ta mère toi aussi. — Mais papy, je ne peux pas, c’est ma maman! — On s’en fout, c’est surtout une grosse salope, comme toi. Tout à l’heure ça va être son tour de t’enfiler, et je peux te dire qu’elle ne va t’épargner; elle attend ça depuis trop longtemps. Sa mère intervient: — Ecoute papy mon amour, il a raison. Je meurs d’envie de te baiser, mais aussi que tu me baises. Vanessa se laisse convaincre, elle s’équipe et on la sent motivée à défoncer sa mère. Elle la prend , ce jeu lui plait, et elle la défonce aussi fort que nous, enfonce son bel engin de toutes ses forces, le plus loin ...
... possible, pour le plus grand plaisir de sa mère. Elle nous laisse la place, se penche pour sucer son long gode, tandis que l’on pénètre tous rapidement sa génitrice, et à plusieurs reprises. Vanessa se débarrasse de son jouet et va chercher un cheval, un bel étalon. Elle va le préparer, le sucer, le branler, tandis que l’on finit de préparer sa mère. On la rebaise une dernière fois, et on jouit tous, les uns derrière les autres, dans son vagin des plus accueillants. Elle est à point et s’allonge sur un large banc, les jambes relevées et qu’elle maintient au dessus d’elle. Sa fille colle le cheval contre elle, et se saisit de sa longue queue pour l’enfoncer dans la chatte de sa mère. Elle introduit dix bons centimètres, puis masturbe l’animal, le fait avancer doucement dans le ventre de sa mère hystérique: — Oui! c’est trop bon ma chérie, vas-y, fait le venir encore plus loin, mets me la toute sa belle colonne, fais le jouir dans mon ventre.................. — Oui maman, tout ce que tu veux, c’est bon de savoir que je ne suis pas la seule à aimer ça. — Non ma fille, je suis aussi vicieuse que toi, et je suis fière de toi, que tu me ressembles. Quinze centimètres, vingt, vingt-cinq, trente, sa salope de fille lui a enquillé trente bons centimètres et stoppe lorsque sa mère le lui demande. Elle fait aller et venir ce monstrueux morceau entre les cuisses de sa mère qui n’en finit plus de jouir et de gueuler des obscénités. Le cheval va enfin jouir, et Vanessa accélère sa branlette ...