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Diane
Datte: 30/03/2021, Catégories: fh, inconnu, groscul, bizarre, hsoumis, fdomine, odeurs, massage, Oral nopéné, uro, donjon, attache, yeuxbandés, hsoumisaf,
... vêtements à contrecœur. Je garde mes sous-vêtements. La massothérapeute entre sans frapper alors que je ne suis pas encore tout à fait installé. Sans faire attention à moi, elle se dirige vers la table où reposent les huiles. Sans perdre un instant, elle attaque le haut de mon dos. Sa force est bien plus grande que celle de Nadine. Ses pouces s’enfoncent dans mes muscles, si fort que je n’en éprouve aucun plaisir. J’essaie de me convaincre de lui dire d’y aller plus doucement, mais les mots restent pris au fond de ma gorge. Puis, après environ dix minutes de ce malaxage, quelque chose se produit. Je la sens se détendre et ses mains me massent maintenant avec une pression parfaite. Légèrement plus fort que Nadine, mais tout juste sous le seuil de la douleur. Je sens une forte dose d’endorphine parcourir mon corps. Elle se déplace ensuite vers mes jambes et entreprend de relâcher les tensions dans mes cuisses. Je remarque qu’elle n’a pas la pudeur de Nadine qui s’assurait que le drap cachait mes fesses et mon entrejambe. Lorsque les doigts longs et fins glissent sur mon entrejambe, je dois me concentrer pour réprimer mon excitation. — Tourne-toi sur le dos, me dit-elle après avoir terminé mes mollets. Je m’exécute et elle ne prend pas la peine de lever le drap pour me rendre la tâche plus aisée. Elle s’assoit derrière ma tête et s’apprête à masser le haut de mon torse. Je remarque un détail qui m’avait échappé précédemment : ses seins doivent être écrasés par un élastique ...
... assez ferme, car ils avaient l’air de taille légèrement plus importante que la moyenne quand elle se tenait devant moi. Mais sous cette angle – la courbe inférieure flotte à une dizaine de centimètre de mon visage – il devient clair qu’une fois libérés, leur proéminence doit avoir de quoi impressionner. Au moment où elle pose ses mains sur mes pectoraux, une sensation familière – mais que je croyais avoir éliminée – naît en moi. Mon cœur s’accélère et ma respiration se fait courte. Je sais que je suis au bord du précipice d’une crise d’angoisse, et l’idée de m’y trouver ne fait qu’accroître les symptômes. La femme doit s’apercevoir que quelque chose cloche, car elle arrête ses mouvements circulaires et tente de capter mes yeux qui se déplacent avec nervosité. Je suis incapable de soutenir son regard. — Tout va bien, me dit-elle (sa voix s’est altérée : elle semble authentiquement empathique). On va prendre notre temps, d’accord ? Une de ses paumes se dirige vers mon front alors que l’autre se place directement au-dessus de mon plexus solaire, à l’endroit précis où le tourbillon de peur abjecte tire sa source. Nous restons dans cette position pendant un long moment. Elle me dicte de prendre de grandes inspirations, de ne pas m’inquiéter, qu’elle comprend. Peu à peu, je recouvre une relative quiétude. L’horloge au mur indique 20 h 24 ; le massage est terminé depuis plus d’une vingtaine de minutes. Je sais que je devrais la rassurer, lui dire que je vais mieux et que nous pouvons ...