1. Diane


    Datte: 30/03/2021, Catégories: fh, inconnu, groscul, bizarre, hsoumis, fdomine, odeurs, massage, Oral nopéné, uro, donjon, attache, yeuxbandés, hsoumisaf,

    ... au tendre moment que nous avons connu la dernière fois. Elle répand de l’huile sur mes jambes, puis s’arrête en plein mouvement. — Il va falloir que tu retires tes sous-vêtements. Sa demande me surprend. Pourtant, j’avais pris l’habitude de me faire masser nu avec Nadine. Avec elle, je ne suis pas certain de me sentir tout à fait prêt. Diane perçoit mon hésitation. — Les tensions montent plus haut, et je ne peux pas m’en occuper avec ça.— Euh…OK. J’attends qu’elle sorte de la pièce, mais comme elle reste sur place, je les retire en me tortillant de manière peu élégante. Sans avertissement, elle dénude mes fesses et entreprend de les pétrir. Je ne peux retenir un râle de plaisir. Sur mes grands fessiers, elle peut se permettre d’appliquer toute la puissance dont sont capables ses doigts. Je suis d’abord sur mes gardes, mais bientôt je me détends tout à fait et je la laisse faire quand ses doigts s’activent du côté de la fente pour inclure la totalité du globe. À plusieurs reprises ses ongles frottent par accident l’arrière de mon scrotum, et une quantité de sang afflue vers mon membre. — Bon, sur le dos maintenant. Un certain amusement perce dans sa voix. Maintenant nu, je me demande comment je vais dissimuler mon début d’érection. D’un autre côté, j’ai envie de lui montrer mon pénis dressé. Une fois sur le dos, je suis trop conscient de la bosse qui doit transparaître à travers le drap. N’y tenant plus, je me sens dans l’obligation de fournir une explication. — Désolé, ...
    ... c’est pas contrôlé, je. Je sais pas trop quoi dire. On peut arrêter si tu veux.— Quoi ? Tu parles de ton érection ? dit-elle en pointant vers le monticule. Son geste accentue la courbe de ce dernier. C’est rien. Je prends ça comme un compliment.— Mais je veux pas que tu le prennes comme si c’était pour toi. Euh, je veux dire, c’est pas que je te trouve pas attirante, c’est que c’est pas contrôlable, des fois. Elle rit doucement, et en écartant le toupet de sa coupe garçonne déverse en moi le bleu métal de ses yeux. Sans un mot de plus, elle reprend le massage de mes pectoraux. Comme lors de notre dernière rencontre, la panique se saisit de moi à la vitesse d’une grande bourrasque. Mon membre retombe aussitôt. Une seconde plus tard, et sans un signe de ma part, Diane comprend ce qui se produit en moi et repositionne ses paumes sur mon front et mon plexus. Cette fois, la panique ne fait que s’accentuer. — Scuse, je sais pas ce que j’ai. Je capote un peu, là. Je pense qu’on ferait mieux d’arrêter. Son petit banc roule, et elle vient se placer à mes côtés. Ses mains n’abandonnent jamais le contact de ma peau. — Fais-moi confiance, dit-elle. Glissant sa main droite sous le drap blanc, elle emprisonne mes testicules entre sa paume et ses trois derniers doigts tandis que son pouce et son index encerclent mon membre flasque. Je me redresse sur mes coudes, dépassé par les événements, mais elle me repousse sur la table de massage et referme légèrement l’étau de sa main droite, sans pour ...
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