Diane
Datte: 30/03/2021,
Catégories:
fh,
inconnu,
groscul,
bizarre,
hsoumis,
fdomine,
odeurs,
massage,
Oral
nopéné,
uro,
donjon,
attache,
yeuxbandés,
hsoumisaf,
... autant que cela devienne douloureux. Étrangement, le fait d’avoir mes bourses ainsi protégées par sa main atténue mon angoisse. D’une caresse des plus lentes, elle commence un va-et-vient de l’anneau formé par son pouce et son index. À chaque battement de mon cœur, mon membre se dresse et vient emplir l’espace entre ses doigts. — Tu te sens un peu mieux ? Je hoche la tête. — C’est ton emploi qui te stresse comme ça ? Je commence alors à parler. Sa main m’encourage à poursuivre mon monologue et s’arrête à chaque fois que je me tais. Je lui raconte les problèmes qui me pourrissent ma vie. À deux reprises, je viens près de l’éjaculation, mais Diane referme sa pince sous la base de mon gland, chassant l’instant de non-retour. J’ignore comment elle a pu exécuter ces manœuvres au moment exact : la gêne m’interdit de lui dire que je vais avoir un orgasme. — Parle-moi de tes peurs, me dit-elle. D’où vient ton angoisse ?— Je ne sais pas. L’étau se referme autour de mes testicules, et je prends conscience qu’elle peut les écraser à n’importe quel moment. — De quoi avais-tu peur quand tu étais enfant ? Et je reprends mon discours, lui racontant comment j’étais terrifié par des monstres et des fantômes, mais aussi par le noir. — Tu as encore peur du noir. Je n’ai pas besoin de lui confirmer : elle sait. — Ta mère venait te réconforter ? La question me perturbe. Mon érection s’affaisse, mais en serrant un peu mes bourses et en deux coups de main, Diane lui redonne sa vigueur. — Seulement ...
... quand… Je suis incapable de terminer ma phrase. Puis, j’ai soudain une terrible envie d’uriner. — Il faut que j’aille aux toilettes. Mes yeux s’agrandissent de terreur quand je vois la tête de Diane se secouer de droite à gauche. Sa main libre descend sur mon ventre et appuie sur ma vessie. — Vas-y, je suis là. Mon esprit rationnel me hurle que cette femme est dangereuse, qu’elle est à moitié folle et que je ferais mieux de m’enfuir à toutes jambes. Je sais que même si elle ne me tenait pas par les couilles, je resterais exactement où je suis. — Je ne peux quand même pas faire ça, dis-je avec horreur. Pour toute réponse, elle accentue la pression et rabaisse mon prépuce, comme si cela aiderait l’urine à circuler. Mes paupières se ferment sous le coup de la honte au moment où je sens mes muscles se relâcher. Le liquide chaud jaillit de mon pénis toujours dur, et le jet se sépare en deux, allant arroser mon torse et le dessous de mon menton. La main de Diane incline légèrement l’angle de ma verge, et lorsque j’ouvre les yeux, je vois quelques gouttes asperger le chandail blanc de la femme. Avant que le liquide ne refroidisse, elle se lève et quitte la salle. Je suis dévasté. Broyé par la culpabilité, j’utilise le drap pour essuyer l’urine, et je me dis que je vais lui proposer de l’amener à la maison avec moi afin de le nettoyer. Il me faut un certain temps pour réunir le courage de sortir de la pièce. Elle m’attend derrière le comptoir. Son visage ne trahit pas ce qui vient de ...