1. Diane


    Datte: 30/03/2021, Catégories: fh, inconnu, groscul, bizarre, hsoumis, fdomine, odeurs, massage, Oral nopéné, uro, donjon, attache, yeuxbandés, hsoumisaf,

    ... pendant tout ce temps elle maintient sa poigne sur mes testicules. Je n’ai jamais connu ce genre de session de sexe – si on peut appeler ça du sexe – mais je me sens tout à la fois au bord de l’extase et étrangement réconforté. Après ce qui me paraît comme la majeure partie de la soirée, elle saisit enfin ma verge de sa main gauche ; la droite ne quitte jamais mes bourses. Elle la flatte d’abord doucement, et lorsqu’elle la serre je sens que je vais décharger un litre de sperme ; mais comme par magie, elle anticipe mon orgasme et applique une pression sur la base de mon gland. Mon désir tombe légèrement et elle peut poursuivre ses caresses. Ses lourdes fesses toujours appliquées sur mon visage, j’attends avec impatience la prochaine fois qu’elle se relèvera. Et lorsqu’elle s’exécute, l’odeur de son intimité agit comme un fouet, et elle le sent. Elle agite la main avec un peu plus de vigueur et me permet enfin de libérer la tension. De véritables spasmes secouent mon corps, et je sens vague après vague le sperme chaud qui gicle sur mon torse nu. Tout au long de mon orgasme, elle joue avec mes testicules comme s’il s’était agi de boules chinoises. Elle ne se relève pas aussitôt, mais me permet de la humer encore quelques minutes. Je dois me retenir pour ne pas la lécher et lui rendre la pareille. Lorsqu’elle se relève, je me sens soudain abandonné. J’aimerais la retenir, mais je n’ose pas. Debout, elle me regarde avec des yeux tendres et me dit : — Tu reviendras demain. ...
    ... Elle me lave le torse avec une serviette humide et remonte à l’étage pour me laisser me rhabiller. *** Chaque jour je reviens voir Diane en fin de journée, et la séance se répète, identique à la première. Tout au long du jour, je ne pense qu’à ce moment où je verrai ses fesses globuleuses s’abaisser vers mon visage. De tout ce qu’elle me fait vivre, c’est son odeur qui me hante le plus. Il m’arrive de ne pas me laver après être sorti de chez elle et de placer ma main sur mon nez pour tenter de percevoir sa fragrance délicate et excitante. Une semaine après ma première visite à l’appartement de Diane, je me présente à sa porte, et elle m’ouvre comme à son habitude. Cette fois, elle ne porte plus la jupe de cuir noir, mais un pantalon de coton plutôt lâche qui cache ses formes de femme que j’apprécie tant. Je sens la panique s’insérer en moi : est-ce la fin de nos petits jeux ? M’annoncera-t-elle que je ne peux plus venir la trouver ? Mais non, elle me fait signe d’entrer. — J’espère que personne ne t’attend pour la nuit. Un fol espoir naît en moi : nous passerons toutes ces heures ensemble ? Elle me conduit jusqu’à la porte métallique et la déverrouille à l’aide d’une clé coincée entre ses seins. Elle porte un soutien-gorge cette fois. À l’intérieur, j’aperçois un étrange appareil de bois et de métal qui ressemble à un instrument de torture sorti du moyen-âge. — Tu me fais confiance ? me demande-t-elle. J’hésite, puis je hoche la tête. Elle me demande de me tenir derrière la ...