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Je suis escort boy
Datte: 30/03/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro
Je suis devenu un « Escort boy » (fiction écrite en 09.2015). Personnellement, je n’ai jamais aimé le terme de gigolo que je trouve péjoratif. Voici l’histoire inventée de toutes pièces… Bien que… Sans me vanter, j’ai toujours eu beaucoup de succès auprès des filles… Au lycée, il suffisait que je claque des doigts pour que celle sur qui j’avais jeté mon dévolu se retrouve dans mon lit le samedi soir… Pendant mes études et après, j’ai évolué dans un milieu où les femmes ne sont guère farouches et je ne me suis jamais privé de baiser celles qui voulaient bien se laisser faire… D’ailleurs ma réputation de « bon coup » suffisait pour cela. Après avoir passé un bac L. option « Cinéma et audiovisuel » j’avais quitté Paris pour Lyon afin d’y poursuivre mes études universitaires et préparer la licence « Ecriture et réalisations professionnelles en images animées – option cinéma » qui me permettait ensuite de présenter le concours d’entrée à l’ENSAT de Lyon. Bref au bout de 6 années d’études supérieures j’avais décroché mon diplôme et trouvé un travail d’intermittent du spectacle dans une maison de production travaillant pour la télévision. C’est là où j’ai rencontré Véronique, une actrice qui enchaînait les petits rôles dans des séries à rallonge comme il en existe bien trop. Bref, nous nous entendions bien et mes fonctions d’assistant metteur en scène facilitaient les choses. Nous nous entendions bien mais rien de sexuel n’intervenait dans nos relations… J’avais une maîtresse ...
... épisodique qui me suffisait. Un jour sur le plateau, j’ai surpris une conversation entre une couple de figurants que j’avais vus évoluer à plusieurs reprises dans différents épisodes de la série que nous tournions à ce moment là. Ils parlaient (je l’ai su après) de Véronique et en gros, ils disaient : • Cette catin est encore absente… elle est partie faire la pute ! J’ai été surpris car rien dans son comportement ne laissait deviner un tel état de fait mais en y réfléchissant, j’ai pensé que cela était une calomnie. Certes Véronique demandait souvent au responsable du planning que les scènes où elle devait figurer soient décalées d’un jour ou deux soit le vendredi ou le lundi et il n’était pas rare de la voir porter des tenues sexy, à la limite de la provocation… Les semaines ont passé… et je n’y pensais plus jusqu’au jour où nous devions faire un tournage en extérieur à une centaine de kilomètres au sud de Paris. La veille, Véronique est venue me trouver à la sortie du plateau… Elle semblait m’attendre ! • Gilles, ma voiture est en panne… et personne ne s’est proposé pour m’emmener demain matin… Je sais que tu aimes être indépendant dans ces déplacements… Aurais-tu la gentillesse de me transporter. • Pas de problème… Sois à mon adresse pour 7 heures au plus tard… Tu connais les embouteillages parisiens… • Tu es un ange… çà me soulage… La journée de tournage s’est déroulée sans anicroche… Le propriétaire des lieux avait même fait préparer un barbecue pour la pause de midi. En fin ...