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Je suis escort boy
Datte: 30/03/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... dire… • D’accord… Je serai muet comme une tombe… • Tu dois bien te douter que ce n’est pas avec mes cachets minables d’actrice de second rang que je peux me payer un tel appartement et tout ce qui s’y trouve… • Oui… cela m’étonnais en effet… • Voila… Il ya quelques années quand je sortais de l’école d’arts dramatiques que bon nombre connaissent, on m’a offert d’accompagner des personnes friquées, plus très jeunes mais qui aimaient bien se montrer à bras d’une jeune et jolie femme… J’étais libre et je n’ai rien vu à redire à cette proposition. Les premières fois, tout s’est bien passé… Nous allions au restaurant, à des soirées de bienfaisance ou autres et dès que j’avais ramené mon hôte à son hôtel, tout était terminé pour moi… Il faut dire que la veille de telles sorties, j’avais reçu par coursier une enveloppe bien garnie de billets et une photo de la personne que je devais rencontrer avec ses coordonnées. • Alors explique moi pourquoi tu me dis que le tarif pour une relation sexuelle c’est 500 € ? • En fait, j’avais été recrutée par une entreprise basée en Belgique qui avait tout un cheptel de filles et quelques garçons qui tenaient compagnie à des personnes qui le demandaient. Quelques semaines plus tard, j’ai été invitée pour un weekend dans la périphérie de Bruxelles… C’est là que tout a basculé… Nous nous trouvions dans un petit château au sud de la capitale qui s’est révélé être le siège de l’entreprise. Le couple qui nous recevait était les instigateurs de ce réseau ...
... de Call girls qui s’étendait sur toute l’Europe. Nous étions selon leurs dires une cinquantaine de filles entre 25 et 40 ans de toutes nationalités et nous étions fort demandées… C’est au cours de ce weekend que le marché a été mis en main de certaines filles qui, comme moi, n’avaient jamais eu de relations sexuelles avec les clients… Si nous voulions rester dans l’organisation, il fallait accepter de passer cette barre car de plus en plus de clients sollicitaient ce genre de relations en plus de l’accompagnement lors de soirées. C’est ainsi qu’à la mission suivante j’ai rencontré un sud américain (je n’ai jamais su s’il était brésilien ou argentin car nous ne devions pas poser trop de questions) qui parlait un français des plus châtié… Il était à Paris pour signer un important contrat, séjour qui devait se terminer par un dîner dans un restaurant huppé de la rive gauche de la Seine. Je devais l’accompagner pour la soirée… • Et alors ? • Lorsque j’avais reçu l’enveloppe la veille, elle était particulièrement bien garnie… La carte qui y était jointe précisait que la soirée devait se terminer dans un célèbre cabaret des Champs Elysées où une table était réservée à partir de 23 heures. Lorsque nous sommes sortis du restaurant, deux limousines immaculées nous attendaient pour nous conduire au cabaret. Nous étions ainsi deux couples par voiture… Finalement Sergio et moi, nous avons terminé la nuit à son hôtel… mais là, le supplément m’était versé directement puisque cela n’était ...