Comment tout a commencé...
Datte: 01/11/2017,
Catégories:
f,
h,
Collègues / Travail
grosseins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
jeu,
aliments,
... où, mon chéri ? Moi je vais jouir, ça ne va pas tarder… Je sens que ça vient.— Moi aussi, lui répondis-je, je vais plus tenir.— Prends ma tasse me dit-elle dans un sursaut. Prend ma tasse et finis-toi dedans ! Sans vraiment réfléchir à ce que je faisais je pris sa tasse et la positionnai devant ma queue. Quelques secondes après elle fut secouée de spasmes. Je la connaissais un peu crue, voire vulgaire, mais sur le moment elle dépassait tout ce que j’imaginais d’elle. — Ho putain, je jouis ! Je jouis, mon chéri, je jouis. Hooo, c’est bon, lâcha-t-elle, les jambes arquées sur les rebords du fauteuil. Vas-y branle-toi, branle-toi et lâche tout ! Je jouiiis ! Je ne pus me retenir plus. La vision de Mélanie en train de jouir m’acheva et je lâchai tout mon sperme dans sa tasse. À moitié mort, je m’affalai dans le fauteuil avec un soupir de plaisir, fermant les yeux pendant quelques minutes, la tasse toujours dans la main. Je fus sorti de ma torpeur par une chaleur humide sur mes doigts. Elle était en train de recueillir le sperme qui m’avait coulé sur la main, me léchant les doigts avec avidité, ses beaux yeux verts plongés dans les miens. — Je n’aime pas le gaspillage, me dit-elle, faisant tourner sa langue toute blanche dans sa bouche.— Quel pied, lui répondis-je… La vache, je ne te pensais pas aussi… aussi…— Chaude ? me dit-elle en finissant ma phrase.— Salope, lui répondis-je, sûr de ne pas la choquer.— Comme quoi… je cache bien mon jeu, me dit-elle avec un clin d’œil. Elle ...
... allait poursuivre quand tout un bruit de voiture se fit entendre dans le jardin. — Merde, Bernard ! m’exclamai-je complètement abasourdi. Je l’avais oublié. Elle se jeta dans le fauteuil, remit son soutien-gorge correctement, reboutonna son chemisier et défroissa sa jupe. Je me dépêchai, de mon côté, de reboutonner mon pantalon et je posai sa tasse sur la table, reprenant la mienne comme si de rien n’était. Bernard franchit la porte quelques secondes après, l’air dépité. — Un déplacement de fait… dit-il. Une vieille dame qui avait un peu de fièvre, rien de méchant. Je vois que vous avez repris un café, je vais m’en faire un moi aussi. Il se rassit dans son fauteuil quelques minutes après, son café à la main. Je bus alors le mien, pour donner le change, mais le café froid c’est horrible, ce qui me fit faire une grimace. Mélanie me regarda alors amusée et me tendit ma cuillère en disant : — Tu as oublié de mélanger le sucre. Tiens, prend ta cuillère ça ira mieux. Et pendant que Bernard se penchait pour prendre la sienne, elle se lécha le bout des lèvres, d’un air coquin, pour me faire comprendre que c’était la cuillère dont elle s’était servie pour se masturber. Je la léchai alors doucement, essayant de savourer le goût de sa chatte, ce qui me redonna aussitôt une érection d’enfer. De son côté elle prit sa tasse sur la table, avalant de grande gorgée de son capuccino froid, coupé avec mon sperme. Elle se lécha les lèvres une fois de plus, et ses yeux dans les miens, lança : — ...