Au service (pas st secret) de Madame (11)
Datte: 01/04/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... L’arrivée de la présidente stoppa net les élans sexuels du grand salon. Mais quand devant mon épouse, elle se mit nue, elle devint notre complice, libertine à souhait. Avec mon épouse, nous lui avons tout donné. Elle put même nous flageller pour notre plus grand des bonheurs. La semaine fut bien trop courte. La présidente se montrait tout aussi dévergondée que nous tous. Le dernier soir, elle nous maria très officiellement. Notre nuit de noce se passait dans le donjon, solidement ligotée l’une en face de l’autre. C’est à coup de fouet que nous nous sommes juré un amour éternel devant tous les invités. Puis, nos seins solidement enserrés dans de la bonne cordes, nous fumes soulevée du sol durant les derniers moments de cette gigantesque partouze. Dès le midi, alors que la plus part des invités étaient déjà loin, il ne resta plus que nous cinq, la présidente et quelques couples homos et hétéros. Châu, Jeanne, nous retirèrent nos fers. Chacun reprit sa place et dans une dernière partie de jambe en l’air, la présidente émettait le souhait que ma femme et moi la punissions pour toutes ses fautes. Ce ne fut pas à ce moment de douceur, de tendresse et d’amour. Elle resta encore après que le dernier couple fut parti. C’est à ce moment-là que je l’amenais dans notre donjon. — Es-tu certaine de vouloir te faire durement punir ? — Oui, Manon, tu es tellement belle et désirable. Ta femme, notre Colette, a de la chance de t’avoir auprès d’elle. alors, montre-toi jalouse de t’aimer et ...
... jalouse que j’aime aussi ta douce moitié. — Comme il te plaira. Cependant, je vais devoir me montrer particulièrement méchante avec toi, ma présidente. Si je suis bien l’épouse de Colette, à quelque part, je suis toujours son esclave. Et l’esclave que je suis obéit à un ordre merveilleux, celui de te fouetter, de te couvrir de pinces et, comme bouquet final, te faire jouir à n’en plus pouvoir. — J’accepte, fouette moi durement. Je l’embrassais tendrement en caressant son sexe bien humide. Écartelée dans le donjon, ne touchant plus le sol, ja me mis à martyriser son corps à coup de fouet. Je visais son sexe, ses fesses, ses seins aussi. Parfois, je venais embrasser sa bouche, lui donner à boire ma soif d’amour, mon désir de jouir encore d’elle. Sur son corps maintenant recouvert de grosses pinces bien mordantes, avec ma douce colombe, nous les lui retirions à coup de cravache ou en tirant dessus doucement jusqu’à ce qu’elles se séparent de la chair qu’elles emprisonnaient. Dans son corps, de belles et longues aiguilles vinrent le lui transpercer de part en part, comme ses seins, ses lèvres intimes, sa langue, son nez. Sur les aiguilles, on posa des électrodes. De violentes secousses électriques traversèrent le corps de la présidente. Elle hurla sa douleur et ne fut entendue que par nous, ses bourreaux. Son supplice dura jusqu’au moment où nous enfoncions deux godes dans ce corps lourdement battu. Elle explosait de bonheur. Délivrée, avec ma douce colombe, nous l’emportions dans ...