Le goût du jeu
Datte: 01/04/2021,
Catégories:
2couples,
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odeurs,
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Oral
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... plusieurs fois, comme si ma vie en dépendait. Rapidement, ma queue se redresse et mon esprit s’embrume. Que j’aime cette odeur ! J’ai découvert par hasard ce phénomène lors de nos ébats amoureux. La première fois, j’en fus très surpris, surtout que je suis très sensible aux odeurs et de ce fait très sélectif. Pourtant, j’ai bien dû me rendre à l’évidence : sa transpiration enflamme systématiquement mes sens. Depuis que j’ai dévoilé cela à Anne, nous ne manquons jamais de profiter de ces instants si érotiques. Elle adore me voir prendre du plaisir et m’exciter de son intimité. Sa sueur dégage une odeur discrète et terriblement enivrante. Pendant que je poursuis sans relâche mes inspirations profondes, Maîtresse Sandrine, assise près de moi, saisit ma queue et me masturbe doucement. Mon sexe palpite et mon désir augmente de plus en plus. — Hum, c’est vrai que ça a de l’effet ! dit Maîtresse Sandrine en souriant.— Et toi, Marc, est-ce que tu aimes ça aussi ? Tu ne m’en as jamais parlé ? reprend Sandrine.— Oui, moi aussi j’aime te respirer pendant que nous faisons l’amour.— Pourquoi ne me l’as-tu pas avoué ? Je trouve ça très bandant, pourtant ! ajoute Sandrine un peu déçue.— Je craignais de te choquer. J’en avais un peu honte, je le reconnais, dit Marc très gêné.— Allez, viens près de moi ! Viens me renifler ! Profite de mes odeurs ! En plus, tu ne vas pas être déçu… dit Sandrine en riant. Sans plus attendre, Marc vient se placer lui aussi contre l’aisselle de sa Maîtresse et ...
... entame à son tour une inhalation d’amour. La caméra que nous avons rechargée lors du repas continue de nous filmer. Je me dis que cette scène remplie d’érotisme sera un régal à revoir. Dommage que les caméscopes ne puissent pas aussi enregistrer les odeurs, sinon je pense que je regarderais en boucle ce type de film. Tout en continuant nos inspirations profondes, Marc et moi développons vraiment une trique d’enfer. Sandrine poursuit la lente masturbation de ma bite et Anne, assise près de Marc, commence à son tour à lui masturber le sexe tout aussi érigé que le mien. — Si nous continuons à les branler comme ça, ils vont finir par nous cracher leur jus. Il y a peut-être mieux à faire, non ? dit Maîtresse Anne avec un large sourire.— Oui, je le pense aussi ; terminons le dernier gage ! s’exclame Maîtresse Sandrine. Les deux femmes abandonnent aussitôt nos deux vits frémissants. Comme deux pantins, nous restons muets, Marc et moi. Nous regardons chacun notre queue bandée avant que nos yeux se rencontrent. Marc me sourit en affichant clairement sa déception. Dire que je suis déçu aussi est un peu faible : je suis très déçu. Je lui rends son sourire pendant que Maîtresse Anne s’empare du saladier et le tend à Marc. — Maîtresse ! C’est déjà moi qui ai tiré le dernier gage, dit Marc avec précaution.— Oui, mais c’est ton complice qui l’a réalisé à ta place tout à l’heure, donc à toi de tirer ! ordonne Anne sur un ton péremptoire. Sans broncher, Marc prend le dernier papier, le remet à ...