1. Le goût du jeu


    Datte: 01/04/2021, Catégories: 2couples, fbi, hbi, couplus, hsoumis, fdomine, odeurs, massage, intermast, Oral hdanus, hgode, hfisté, jouet, jeu, uro, sm, donjon, attache, yeuxbandés, fouetfesse, init,

    ... se distend, et d’un seul coup ma main entière est avalée. Quel délice ! Quel plaisir ! Marc gémit tout en poursuivant le léchage du sexe de Sandrine. Les fesses de Marc viennent au-devant de ma main, comme pour demander plus. Je m’applique à le fister et ressens les vibrations de tout son corps. Il prend un pied d’enfer, c’est évident. Je prolonge cette caresse, lorsque subitement son corps se tend et sa queue se met à couler. Son sperme ruisselle mais ne gicle pas. Il est en train de jouir de la prostate. Il gémit sans pour autant cesser de lécher sa femme sur le point, elle aussi, d’exploser. Je lève les yeux et je rencontre le regard d’Anne, qui comme hallucinée martyrise les seins de son amie tout en se masturbant avec frénésie. Soudain, Sandrine pousse un cri strident ; Anne en profite pour s’envoler à son tour. Nos deux maîtresses grimpent au septième ciel en même temps. Leurs cris et leurs gémissements rauques sont de véritables enchantements. Je ressors délicatement ma main de l’anus de Marc. Tous silencieux, ils prolongent égoïstement leur orgasme. Ils cuvent, satisfaits par cette électrocution. Je me mets debout et les regarde avec tendresse. Qu’ils sont beaux tous ainsi repus ! Maîtresse Sandrine est la première à se ressaisir : — Je crois que nous avons un peu aménagé la punition, dit-elle en riant. Nous nous regardons tous et éclatons de rire. — Oui, mais qu’est-ce que c’était bon, répond Marc avec un plaisir évident. Une heure du matin. Reprenant doucement nos ...
    ... esprits, nous sommes tous assis sur le canapé. Les regards sont troubles, les cernes commencent à se dessiner sous les yeux. Chacun plongé dans ses propres pensées prolonge intérieurement ces moments d’extase. Maîtresse Anne rompt le silence : — Que diriez-vous d’une petite toilette pour nous redonner un peu d’énergie ?— Moi je commence à sentir le chacal ! Que dis-je : les « chacaux » ! reprend-elle en éclatant de rire. Anne me regarde droit dans les yeux : elle connaît l’effet immédiat que l’odeur de sa transpiration a sur ma libido. Un désir puissant de venir lui renifler les aisselles s’insinue instantanément dans mon esprit, comme un rêve obsédant ; je m’imagine déjà profiter de cet arôme aphrodisiaque. Elle le lit dans mes pensées ; elle se lève, vient se placer à côté de moi, lève son bras et met sous mon nez son aisselle humide. — Que fais-tu, Anne ? demande Sandrine, étonnée.— Ma petite chienne adore me sentir sous les bras ! Rien que de le faire, ça la fait bander. Et plus mon odeur est intense, plus elle est excitée, dit Anne tout en plaquant son dessous de bras sur mon visage.— Vas-y, ma petite salope, respire-moi ! me dit-elle avec tendresse. Trop heureux qu’elle m’ait compris, j’inspire très fortement son odeur naturelle, me laissant totalement envahir par cette fragrance. Je sais que l’effet intense que cela produit sur mes sens est amplifié au bout de deux ou trois inhalations. Tel un asthmatique, je prends ma Ventoline d’amour ; je renouvelle le traitement ...
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