1. Le goût du jeu


    Datte: 01/04/2021, Catégories: 2couples, fbi, hbi, couplus, hsoumis, fdomine, odeurs, massage, intermast, Oral hdanus, hgode, hfisté, jouet, jeu, uro, sm, donjon, attache, yeuxbandés, fouetfesse, init,

    ... tellement brûlante qu’égoïstement j’obtempère. Je me mets à cheval sur ce corps offert et m’embroche littéralement sur le membre turgescent. Je sens la chaleur bienfaisante envahir ma chatte bouillante. Il me remplit. Rapidement, j’entame de légers mouvements de haut en bas pour me pénétrer de cette queue si raide. Il me saisit par les hanches, accompagne mes mouvements, accélère la cadence. Je me sens défoncée. Je sais que dans peu de temps je vais exploser de jouissance. Sandrine se dirige vers l’autre soumis pour le détacher. Ils s’approchent de nous et regardent avec délectation comment je me fais baiser sans retenue par Marc. Je poursuis ma chevauchée sans réfléchir ; mon esprit est vide, ou plutôt une seule idée tourne dans mon cerveau : jouir ! Jean-Philippe se place derrière moi, m’appuie sur la tête pour me forcer à me pencher en avant au-dessus du visage de Marc. Il masse mon anus avec vigueur ; je suis tellement inondée que rapidement ses doigts entrent en moi. Il vient s’agenouiller au-dessus de moi et fait pénétrer sa queue qui a déjà retrouvé toute sa vigueur. Son membre force mes fesses. Il reste immobile quelques instants pour que je m’habitue, puis commence un lent mouvement. La queue de Marc alterne avec celle de Jean-Philippe pour me remplir tour à tour mes deux trous à plaisir ; j’adore ce que je ressens, j’aime être ainsi investie. Je lève les yeux : Sandrine nous regarde tout en se masturbant sans vergogne au-dessus de nous. La voir ainsi se branler ...
    ... avec ferveur augmente considérablement mon excitation et il ne me faut que quelques secondes avant que je ne crie comme une folle et que la tempête ne m’emporte. Je suis terrassée par l’orgasme ; mon corps semble pris par la danse de Saint-Guy. Je vibre de partout, je pleure de bonheur. Jean-Philippe se retire de mon petit cul ; aussitôt je ressens un grand vide, un grand froid. Avec peine, je me remets debout, mais Sandrine doit m’aider en me prenant le bras pour m’éviter de chuter. Marc, toujours érigé, reste allongé. Sans attendre, Sandrine vient prendre ma place et enfourche le sexe encore tout luisant de ma mouille. Elle s’affale sur Marc et l’embrasse à pleine bouche. Rapidement, son corps se met à onduler ; elle cherche une pénétration encore plus profonde. Sa chatte a faim depuis tout ce temps. Marc l’enserre dans ses bras, fait monter et descendre son bassin pour défoncer totalement le sexe de sa femme. Ils sont emportés dans un rythme endiablé. Je viens me coller contre Jean-Philippe, et sans détourner mon regard de la scène si érotique que nous offre nos amis, je l’embrasse. Comme fascinés, nous ne parvenons pas à détacher nos yeux de ces corps si beaux. Sandrine augmente encore le mouvement ; nous entendons le floc-floc des corps humides qui s’entrechoquent, puis soudain deux cris simultanés nous percent les oreilles : ils jouissent ! Sandrine s’abat comme un pantin désarticulé sur Marc. Ils restent collés l’un à l’autre, telles des statues de sel. Ils savourent leur ...
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