Le goût du jeu
Datte: 01/04/2021,
Catégories:
2couples,
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... plaisir. Tout le monde semble fatigué par les jouissances successives, aussi je propose : — Et si nous allions fumer une cigarette et boire un verre bien frais avant la prochaine surprise, qu’en dites-vous ? Sans hésitation, Marc et Jean-Philippe acceptent avec enthousiasme. — Y-a-t-il un espace pour fumer à l’intérieur, selon toi ? demande Sandrine.— Oui, je l’ai repéré quand nous sommes arrivés. C’est dans le même couloir, à quelques portes d’ici. Sandrine, sans plus attendre, se rhabille en remettant sa tenue de dominatrice. Chacun enfile rapidement un vêtement et nous partons tous ensemble. Une demi-heure plus tard, nous rejoignons notre sanctuaire des supplices. Aussitôt, les soumis se remettent nus, revêtent leurs atours de chiennes et nous font comprendre clairement qu’ils attendent avec impatience la surprise promise. Je m’approche de Sandrine ; nous nous regardons dans les yeux. Cette femme dégage vraiment une sensualité animale. Tous les partages sans retenue que nous avons eus depuis deux jours ont créé un lien invisible entre nous. Une espèce de complicité, probablement renforcée par le fait que nous soyons deux femmes. Ses formes harmonieuses remplies de grâce ne me laissent pas indifférente, je dois me l’avouer. Son sourire éclatant, sa jovialité permanente, sa communication si simple sont autant de choses qui me touchent. Tous les échanges que nous avons eus depuis le premier contact ont été sources de rires et de compréhension mutuelle. Cette femme me charme, ...
... voilà tout ! Sandrine vient se mettre derrière moi pendant que nos deux hommes nous regardent faire avec un étonnement non feint. Elle m’enlace et me dépose dans le cou un baiser doux plein de tendresse. Un frisson me parcourt le corps. Étrange, cette sensation. Pourtant, nombre de fois des hommes m’ont ainsi embrassée ; mais là, c’est différent. Une onde intérieure irise tout mon être. Peut-être est-ce le fait de me faire embrasser pour la première fois par une femme. Je me laisse faire, docile, abandonnée. Elle saisit mes seins, les soulève avec délicatesse, les empaume avec douceur. Je sens déjà mes tétons s’ériger malgré moi. Elle me picore de baisers dans la nuque, tout en me frôlant partout ; elle glisse sa langue dans mon oreille, ce qui me provoque un nouveau frisson. Je peux sentir son odeur faite de sa transpiration aphrodisiaque et des senteurs de sexe. À cet instant, je commence à comprendre ce que Jean-Philippe peut éprouver lorsqu’il hume profondément mes propres senteurs. Une alchimie, un mélange détonant d’arômes, qui pris un par un n’auraient pas d’effet, mais qui là me provoquent un début d’ivresse. Je colle mon corps contre sa nudité ; je perçois ses tétons durcis contre mon dos. Elle me rapproche encore plus d’elle et sans relâche me couvre de petits bécots brûlants. Je n’ai qu’un désir : me retourner pour mêler ma langue à la sienne. Envolées mes peurs, disparues mes craintes, inexistants mes préjugés ; j’ai envie maintenant, immédiatement, d’appartenir à ...