Le goût du jeu
Datte: 01/04/2021,
Catégories:
2couples,
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... cette femme. Mes instincts de soumise se réveillent, mes inhibitions s’échappent comme un vol d’oiseaux au premier bruit. Un silence nous entoure ; nous vivons un instant où seules nous existons. J’entends son souffle de plus en plus s’accélérer, je ressens la montée de son excitation, comme je vis la mienne. D’un seul bras, elle me retourne vers elle et plaque ses lèvres douces sur ma bouche. Sa langue force mes lèvres pour atteindre la mienne. Je ne sais plus résister, je la veux. Je lui rends son baiser avec une intensité que je ne me connaissais pas. Nos salives se mélangent, nos langues font une danse improvisée et nos corps commencent à se frotter l’un contre l’autre. Je vis un moment inoubliable, je le sais, je le sens. Mes pensées sont confuses, mes désirs deviennent de plus en plus précis, mon cerveau ne reçoit plus que les signaux émis par mon ventre, mes seins, mon sexe. Il faut qu’elle me prenne, je veux qu’elle me possède ! Mes mains se glissent entre nos corps et prennent ses seins ; ils sont plus lourds que les miens. Cette peau est douce, soyeuse, et m’excite intensément. Je m’échappe de l’étreinte pour descendre lentement, tout en déposant des dizaines de baisers partout sur cette toile de soie qui couvre son corps. Ses mains passent dans mes cheveux et me caressent, m’incitant encore plus à poursuivre mon exploration. Ma langue vient lécher chaque partie de ses seins et de son ventre. Mes jambes fléchissent progressivement au fil de mon itinéraire ...
... insolite. Elle continue à me caresser délicieusement les cheveux. Je finis par me retrouver à genoux à ses pieds. Je prends conscience de cette position, et ça m’enflamme encore plus. Ma chatte ruisselle. Je perçois le liquide qui me mouille les cuisses. Cette femme attise mes instincts de soumise. Je me laisse glisser encore plus bas pour atteindre sa toison blonde, si bien taillée. Je n’ose parler, je n’ose exprimer les mots qui me viennent à l’esprit : je crains d’être entendue, de révéler, d’avouer ce que Sandrine m’inspire. Elle me fait relever, me prend par la main et me dirige vers l’un des matelas. Elle m’oblige à m’allonger. Aussitôt je relève les jambes et les écarte pour m’offrir toute à elle. Elle s’agenouille devant moi, me regarde avec tendresse. Dans ses yeux, je lis le même désir qu’elle lit sûrement dans les miens. Elle abaisse sa tête et l’enfouit dans le compas de mes cuisses. Je ferme les yeux, repose ma tête sur l’oreiller et m’abandonne aux caresses. Son souffle chaud vient refroidir ma chatte trempée, sa langue chaude et mouillée effleure mes lèvres gonflées. Je ne rêve que d’une chose : qu’elle me mange ma chatte brûlante. Elle prend son temps, explore chaque partie de ma fleur, évite mon pistil, retarde mon plaisir, me frustre délicieusement. Je tente de saisir sa tête pour la plaquer contre moi, mais elle le sait : elle esquive et poursuit son chemin dans les méandres de mon intimité ruisselante. Je la sens fébrile et pleine d’une impatience contenue. Elle ...