1. Mathilde, ma belle-mère (2)


    Datte: 01/04/2021, Catégories: Hétéro

    Chapitre 2 Résumé du chapitre 1 : L’histoire commence par un dernier voyage d’un être cher que l’auteur accompagne à sa dernière demeure et à ce moment-là, lui revient tout le déroulement de son amour avec sa belle mère. Après lui avoir fait sentir son intérêt lors d’une danse slow, comment ils en sont arrivés à coucher ensemble alors que la fiancée n’accordait que le minimum syndical. A la reprise des cours universitaires, l’auteur se trouve avec un dilemme du manque jusqu’à un téléphone de sa fiancée lui demandant d’héberger sa mère, laquelle devant passer chez un médecin à la première heure du jour suivant. — C’est pour un examen médical. Son rendez-vous est tôt le matin. Est-ce que tu accepterais de l’héberger le mardi soir pour qu’elle soit à l’heure à son rendez-vous. Tu devras dormir sur le matelas pneumatique. Lui dit sa fiancée. ... Elle n’a pas osé te le demander, de peur de te déranger, ajoute-t-elle, c’est moi qui ait du la convaincre de cette solution. — On en parlera tout à l’heure, mais c’est sans problème et je suis très content de lui rendre service. Si Lucette était contente, il faut dire que de mon côté, je l’étais tout au tant, mais vraiment pas pour les mêmes raisons. Ce mardi soir, le train arrive en gare et je suis impatient de revoir l’amour de ma vie. Je sens dans mon slip, que je ne suis pas le seul d’être impatient. Enfin la voilà débarquant sur le quai, très élégante, avec une ombrelle sur la tête et une petite valise que je m’empresse de saisir ...
    ... après lui avoir souhaité la bienvenue de manière conventionnelle, on est en public et il ne faut pas tenter le diable, il est déjà assez présent quand on se retrouve entre quatre yeux. Dans le bus, nous étions serrés l’un contre l’autre, appréciant le contact mutuel et à ce moment, elle ne peut s’empêcher de m’avouer : — Si tu savais comme j’ai du m’employer pour trouver un rendez-vous à la première heure et ensuite faire de sorte que ma fille me propose cette solution évidente sans qu’elle ne soupçonne quoique ce soit. Je la serre encore plus fort pour lui faire sentir comme j’apprécie son effort pour qu’on se retrouve tranquillement. Sitôt à l’appartement, je ne pus m’empêcher de la prendre dans mes bras de peloter ses seins que je sentais sous sa veste que je m’empressais de lui enlever. — Sois donc un peu moins impatient, on a tout le soir et toute la nuit pour s’éclater. Excuse-moi, mais ton attention m’a ouvert l’appétit et pas seulement en dessous de la ceinture. — Laisse-moi alléger ta tenue et moi je vais faire de même pour que je puisse admirer ton corps merveilleux pendant le repas. — Grand fou, pourquoi pas, mais il faut le faire tout de suite, car demain, je dois être à jeun et on ne peut pas perdre trop de temps par des galipettes avant. C’est ainsi que le souper fut vraiment vite envoyé et on se retrouva rapidement sur le lit. Dans une demi pénombre on s’échangeait des caresses. — Dieu que j’admire ton corps, tes cheveux avec de petites touches de gris, ton front ...
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