1. Mathilde, ma belle-mère (2)


    Datte: 01/04/2021, Catégories: Hétéro

    ... dégagé surmontant tes yeux dans les quelles j’aime me perdre, sans oublier tes longs cils légèrement teintés de mascara. Ton nez fin et aquilin entourant des joues si douces réunies par ta bouche pourprines que j’aime tant baiser qui surplombe ton menton à fossette. ...Ensuite, j’aime tant ton coup élancé, dont la peau douce attire ma bouche pour les baisers et à la limite de tes cheveux, je sens ton odeur de femelle, plus bas, tes seins ayant connu les maternités qui ne les ont que bonifiés, leur forme en poire savoureuse surmontés d’une fraise que j’adore légèrement pincer entre mes doigts ou sucer avidement comme si il y avait encore du lait. Je sais que tu aimes ou même que tu adores que je le fasse et quand je mets la main entre tes cuisses, j’en sens les effets, ta toison est toute humide. ... Plus bas, ton ventre plat, pas marqué par les deux grossesses est d’une grande douceur, malgré la balafre de la césarienne que tu as subie au dernier, j’aime y promener mes lèvres, baisant ton nombril avant de passer plus bas à l’appel de tes phéromones qui réclament ma présence et mes baisers, voir l’application de ma langue sur ton petit bouton que j’aime aussi sucer jusqu’à ce qu’il sorte complètement de sa cachette, mais je sais que tu ne veux pas que je m’arrête à ton clitoris, ton urètre sécrète son nectar qui m’attire comme le papillon de nuit avec la lumière. Les lèvres grasses et luisantes méritent le soin que ma langue leurs apporte, je sais que tu apprécies que je ...
    ... boive ton jus, tellement savoureux. Elle se mit sur le dos en remontant les jambes en plaquant ses cuisses sur ses seins, m’offrant une vue imprenable sur son sexe et même son petit trou qu’elle m’avait déclaré inaccessible. Je continue à la boire, mais régulièrement je déborde un peu vers le bas pour aussi lécher son périnée insistant sur son raphé*, comme elle manque singulièrement de réaction négative, je pousse un peu plus loin et commence un pétale de rose, je la sens se crisper, mais pas de geste négatif, je remonte gentiment à la source de tout plaisir lentement en continuant le léchage appliqué replonge ma langue en coin dans sa petite tirelire où elle annonce son plaisir de plus en plus clairement. Par curiosité, je replonge vers le bas, pour voir si elle se décrispe quand je lui bouffe le cul. Surprise, il me semble qu’elle commence à apprécier mon traitement et je vois sa pastille s’entrouvrir à l’appel de ma langue et son cul apprécie de plus en plus mon initiative. Mais pour aujourd’hui, je ne veux pas forcer de premier abord le coté sodomite. Je remonte tranquillement, tendu comme un archet et je présente mes attributs à l’entrée de sa grotte, mais je ne fais que passer de long en large sur ses lèvres inférieures quémandeuses. D’un coup de rein, elle s’emboite sur ma pine et redescend ses jambes sur ma taille pour m’attirer au plus profond d’elle. — Salaud, je t’avais interdit l’accès de mon cul, mais tu as fait fi de mon interdit, mais je ne me plains pas, c’était ...