A l'essai
Datte: 02/04/2021,
Catégories:
fh,
couplus,
cocus,
hépilé,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
tutu,
... homme ne m’emballe pas mais là, bizarrement, ce n’est plus juste un homme, mais un instrument au service d’un fantasme que tu souhaites partager avec moi. De plus, il m’est déjà arrivé de trouver certains hommes attirants, si ceux-ci étaient limite androgynes, fins, imberbes. Du coup, tu as décidé de "mettre en branle" la réalisation de ce fantasme commun, avec mon accord, sous certaines conditions. Et pour ce faire, tu offres ton corps à cet homme, comme un premier test de ses qualités d’amant. Et moi, je suis là, à profiter de la démonstration, voyeur et très excité par toute cette mise en scène. Sans surprise, tu te penches pour l’avaler. Tu as comme un regard de défi lancé vers moi, qui semble dire : « Je peux aller plus loin encore » et tu baves sur cette queue dont quelques centimètres échappent à ta gloutonnerie. Je sais d’avance que c’est peine perdue si tu crois pouvoir tout gober. Il est à peu près pareil que moi et je sais par expérience que, pleinement bandé, tu n’arrives pas à m’engloutir en entier. L’homme a passé une main derrière ta nuque et rythme le travail de ta bouche qui l’avale avec entrain. Du micro, faiblement, me parviennent quelques borborygmes éloquents. Je sais à quel point tu aimes sucer. Tu n’as pas le clito au fond de la gorge mais parfois je me demande si tu ne pourrais pas jouir ainsi, tant tu frétilles quand tu bois mon foutre. En tout cas, toute entière à ta fellation, tu n’oublies pas que je te regarde, écartes les pans de ton déshabillé, ...
... tends tes fesses vers moi et de deux doigts, ouvres ton sexe qui luit déjà d’une belle excitation. Voilà un spectacle dont je ne me lasse pas ! Ses petites lèvres sont si développées, ce n’est pas une vulve, c’est une image provenant du test de Rorschach ! De part et d’autre de son vagin, comme deux ailes maintenues par ses doigts, ses lèvres sont véritablement indécentes, de quoi me hanter et souhaiter ne jamais avoir à passer ce test, j’imagine très bien l’accueil du psy si je répondais : « Les lèvres écartelées de la chatte de ma femme » en désignant la tache sur la feuille que chacun identifierait comme un papillon ou que sais-je encore. Je vois que tu t’appliques, tu le recraches, dardes la langue sur son gland, le reprends en bouche en soupesant ses bourses. Je me demande si déjà, tu as pu le goûter, si quelques gouttes de son foutre ont déjà perlé. En tout cas, il fait preuve d’un sang froid de bon augure, j’en connais plus d’un qui se serait déjà vidé au fond de ta gorge. D’ailleurs il semble que cela soit le résultat recherché, tu le branles maintenant énergiquement tout en coiffant son gland de tes lèvres. Il est allongé, je ne vois plus son visage, tu l’amènes au plaisir, les fesses levées vers moi, deux doigts figés dans le vagin. Et voilà que son foutre fuse, abondamment, en longues traînées qui s’étalent sur son torse. Ravie, tu ne bats pas des mains en gazouillant comme une gamine qui s’esclafferait devant la surprise d’un diablotin monté sur ressort jaillissant ...