A l'essai
Datte: 02/04/2021,
Catégories:
fh,
couplus,
cocus,
hépilé,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
tutu,
... technique de fort belle facture, comme dirait un commentateur sportif célèbre et, par-dessus tout, je sais que tu te régales. Tu adores les feuilles de rose que je te prodigue. La preuve, le petit solo de clito langoureux que tu te joues en douce pour accompagner cette langue inquisitrice dès qu’il cède un peu de place à tes doigts. Solo langoureux, solo langoureux… peut-être mais pas longtemps ! Car là tu passes la quatrième ! Je me retiens difficilement d’en faire autant, non pas encore ! Et tu t’emmènes jusqu’à l’orgasme comme l’attestent petits cris, feulements, le roulis de tes fesses… Break, la posture se casse. Il était temps car moi je commençais à frire. À ce moment, je m’attends à ce qu’il t’enfile sans autre finasserie, mais tu reprends les rênes sans lui en laisser le temps et vous voilà tous les deux à genoux sur le lit, face à face, partis dans un de ces baisers voraces que tu apprécies tant. Tu lui parles doucement. Saleté de micro pas assez sensible pour que j’entende ce que tu lui dis ! Qu’importe, je comprends vite la teneur de tes paroles quand je le vois prendre une posture particulière, la même que la tienne quelques minutes auparavant. Alors ça, cela m’éclate et je commente l’action comme un supporteur qui se tape un match devant la télé : — Pas mal, chérie ! Original ! Cet homme me surprend à accepter cette pose, à genoux, bien cambré, le visage dans les bras à hauteur des draps. Tu as fait en sorte que son cul me regarde. Là aussi, pas un poil et si ...
... ce n’est la verge lourde qui pointe vers le matelas, intimidée par cette pose inhabituelle et le paquet remonté par l’excitation, rien d’autre ne le distingue de certaines femmes que j’ai prises ainsi. Voilà qui dénote d’une certaine souplesse, non pas physique, cette position n’étant en rien acrobatique, mais psychique, et je connais peu d’hommes qui seraient prêts à accepter de se lâcher ainsi. Après tout c’est ainsi que depuis des centaines de milliers d’années, les mâles quadrupèdes saillissent les femelles de leur espèce. Passant derrière lui, tu saisis sa queue, tu la lâches, tu viens flatter ses bourses, tu le reprends en main dans un branle lent et vigoureux. Je devine alors ce que tu as en tête quand je te vois plonger entre ses fesses pour lui lécher l’anus. Voilà qui me rappelle de délicieux souvenirs ! Vas-tu poursuivre comme avec moi ou n’est-ce qu’un interlude vers une suite plus conventionnelle ? Suspense ! En tout cas, tu as l’air bien décidée à l’humecter et à l’élargir de la langue, un bon point pour lui car s’il n’avait pas été d’une propreté absolue, tu n’aurais pas poursuivi, alors que là, tu insistes. Je comprends le message que tu m’adresses : « Vois, il s’offre sans retenue, il m’offre son cul ». Je vais vite savoir si tu as vu juste. Tu lui dis de ne pas bouger et tu attrapes dans le tiroir de la commode proche un des godemichés de notre collection. Celui que tu as choisi est long et plutôt fin, idéal pour la topologie des lieux qu’il va explorer. Je ...