11 Mars 1944
Datte: 01/11/2017,
Catégories:
f,
fh,
uniforme,
hdomine,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsoumisah,
11 mars 1944, Berlin. La guerre fait rage depuis plusieurs années au cœur de l’Europe, les victimes s’accumulent, les morts s’entassent et le nombre croissant de veuves finit par offrir au pays de nombreuses femmes pour peu d’hommes. Au cœur de la capitale allemande, une femme est assise sur un banc de Tiergarten Park. Hildegarde est grande, élancée, sportive à souhait et surtout elle correspond aux critères, elle est blonde. Mais elle est aussi pleine de qualités pour une femme de son époque. Elle est bien éduquée, amatrice de musique, adepte de la littérature, férue de théâtre, et est obstinément passionnée par les hommes. C’est nonchalamment assise sur ce banc qu’Hildegarde observe, elle observe les hommes qui passent, elle écoute les bruits de la ville et essaie de passer outre les vrombissements de la guerre. Elle n’aime pas sentir ce stress permanent, elle préfère s’effondrer dans le plaisir et la luxure, se sentir puissante dans les bras d’un homme, laisser agir ses charmes et assouvir ses envies. Et aujourd’hui elle a jeté son dévolu sur un militaire. Oh ! bien sûr ce n’est pas le premier, elle a déjà même goûté à presque toute l’échelle hiérarchique militaire. Mais celui-ci est différent, il est sûr de lui, il déborde d’assurance et de charisme, il marche d’un pas sûr, il prend une place importante dans le monde qui l’entoure et il aime ça. Il aime sentir son influence, son pouvoir et avoir la mainmise sur absolument toute sa vie. Cet homme, c’est le colonel ...
... Siegfried Aufchtate. Tous les samedis, en début d’après-midi, Hildegarde doit se rendre au ministère de la Guerre pour justifier de son travail de secrétaire. Adepte de la machine à écrire, elle pratique également l’art de la sténographie et elle met ses atouts au service d’un vieil amiral ayant fait ses preuves pendant le premier conflit mondial mais qui a récemment pris sous sa tutelle un colonel fraîchement nommé par un général de l’armée régulière allemande. C’est donc sur un banc, avant de prendre son service, que notre sulfureuse blonde attend que le colonel croise sa route. Il passe par cette allée du parc tous les jours pour aller au ministère. Elle commence à connaître le colonel, mais elle ne l’a rencontré que dans le cadre du travail, elle en veut plus, elle veut le découvrir, le dévorer des yeux et, pourquoi pas, profiter de son corps musclé. Justement, le voilà. — Colonel Aufchtate ! dit-elle en se levant et se dirigeant vers lui. Interloqué, le colonel relève la tête et remonte lentement son regard, des pieds fins glissés dans des escarpins à talons, de fins mollets musclés, pas de défaut, la peau semble immaculée. Il remonte le long de ses cuisses, une jupe de tailleur blanc cassé parfaitement ajustée, une fine ceinture marron. L’esprit encore sous le choc, le colonel remonte encore, un ventre plat, une magnifique paire de seins avec un galbe parfaitement dessiné. La dentelle est à peine visible, les dessous sont donc très fins et laissent parfaitement l’imagination ...