11 Mars 1944
Datte: 01/11/2017,
Catégories:
f,
fh,
uniforme,
hdomine,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsoumisah,
... Elle ne doit pas se déconcentrer devant le général. Par la fenêtre, la grande cloche de la cathédrale de Berlin se met à sonner, il est 21 h. La jeune secrétaire est exténuée, elle finit tout juste de taper son dernier courrier. Elle a mal partout, elle ressent la fatigue dans le moindre de ses muscles, son dos est raide, ses doigts fourbus, et elle meurt de faim. Elle profite de ce petit instant pour laisser son imagination vagabonder. Le général est parti depuis près de deux heures, mais le colonel est toujours à son bureau, donc elle doit rester elle aussi. Elle se voit bien rentrer chez elle, profiter des quelques denrées encore difficilement disponibles à cause du conflit et si elle a de la chance, elle aura suffisamment d’eau chaude pour se couler dans un bain et s’oublier. Le corps nu entièrement immergé dans la baignoire du premier étage, elle sait qu’enfin elle pourra penser sans crainte au colonel et laisser aller ses envies. Dans la vie, Hildegarde est très correcte, bien éduquée et prude à souhait, mais quand vient l’heure du bain, il n’est pas rare qu’elle laisse vagabonder son esprit et, avec, ses doigts. Elle connaît son corps à la perfection et depuis qu’elle connaît les joies du plaisir solitaire, elle s’engage à toujours être surprise par les réactions de son propre corps. Et elle sait d’avance que ce soir, ses pensées seront tournées vers l’idée que le colonel pourrait être la source de ce plaisir. Les yeux fermés, rassérénée par la douceur de cette eau ...
... chaude après une telle journée, Hildegarde laissera glisser sa main gauche sur son sein, l’effleurera, caressera le galbe, juste assez pour frémir, et elle caressera son téton, petite colline rose qui trône fièrement sur ses seins sublimes et fermes. Une fois son téton glissé entre deux doigts, elle sait qu’elle laissera sa main droite s’insinuer le long de son ventre pour glisser entre ses cuisses. Elle n’est jamais surprise de ce qu’elle trouve au premier contact de son entrejambe, la peau y est lisse, douce, chaude, chaleureuse même. Mais c’est un choix de sa part de s’entretenir de la sorte. Une fois la main posée sur son mont de vénus, et le sein fermement maintenu, elle sait qu’elle va s’abandonner à ses propres caresses. Elle insinue ses doigts de part et d’autre de son sexe, laissant la chaleur pénétrer son bas-ventre. Ce contact est tellement intime, elle ne cesse de glisser, remonte légèrement avant de resserrer ses doigts et les déposer sur son sexe. Comme à son habitude, l’envie ne tarde pas et, avec elle, l’humidité au creux de ses cuisses. Elle ne tient plus, elle enfouit ses deux doigts en elle et dépose son pouce sur son clitoris. Elle sait qu’elle ne peut jouir qu’avec deux doigts investigateurs en elle mais depuis quelque temps, elle a découvert qu’en se titillant le clito en même temps, le plaisir était décuplé… — Hildegarde ! appelle le Colonel depuis la pièce d’à côté. D’un seul coup, la jeune blonde est tirée de sa rêverie et, par réflexe, elle se lève et ...