11 Mars 1944
Datte: 01/11/2017,
Catégories:
f,
fh,
uniforme,
hdomine,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsoumisah,
... sent que le pouls du militaire vient de grimper en flèche. La ceinture défaite, Hildegarde peut commencer à défaire les boutons du pantalon. Par chance, son expérience auprès d’autres militaires lui permet de savoir exactement comment faire. Une main non entraînée se perdrait en quelques instants. Elle finit de défaire le dernier bouton de la tenue du colonel et s’apprête à saisir ce membre impatient quand d’un seul coup les doigts du colonel sont à la porte de son bas-ventre. Trop concentrée sur le pantalon du colonel, elle n’a pas fait attention à leur progression. Mais c’est fait, ils sont là, prêts à s’insinuer en elle. Elle sent le militaire hésiter, elle plie légèrement les jambes pour augmenter la pression de son sexe chaud sur ces doigts. Mais la secrétaire veut conserver l’avantage, elle saisit le sexe de l’homme à pleine main, il est brûlant, dur, gorgé de sang, palpitant sous ses doigts fins. Elle le caresse en douceur mais avec envie, elle l’explore, elle remonte la hampe et découvre un parterre de gazon bien entretenu, pas trop long, pas trop court, juste assez pour profiter des sensations. Elle glisse sa main en dessous, le caresse de tout son long avant de revenir vers les bourses de l’homme ; elles sont fermes et déjà Hildegarde s’imagine en train de les explorer de sa langue. La jeune fille ouvre les yeux et regarde le colonel, il a les yeux fermés et profite de chaque instant, mais elle ne compte pas oublier que la main du colonel est proche de pouvoir ...
... enfin l’explorer. Elle retire donc sa main du pantalon et l’embrasse de nouveau à pleine bouche. Chaque action a sa conséquence, le colonel se reprend et se concentre sur sa propre exploration de cette grande blonde. Hildegarde joue avec le colonel, elle glisse sa langue sur ses lèvres, elle humidifie chaque millimètre carré disponible jusqu’à la commissure de ses lèvres. De son côté, le colonel est aux portes du paradis, le sexe de la jeune fille est humide, même s’il ne l’explore pas encore, il le sent, mais il veut la faire languir un peu, il caresse son sexe chaud, il remonte vers son clitoris, le caresse, le pince même et redescend vers les lèvres ; il passe doucement un doigt entre elles et arrive à l’endroit même où il sait qu’ils vont disparaître, comme avalés. Il sent la langue de la jeune fille forcer aux portes de ses dents et à l’instant où il lui ouvre pour l’embrasser avec passion, le colonel glisse deux doigts au plus profond de la jeune fille. La résistance a été quasiment inexistante, ses doigts ont glissé d’eux-mêmes et jusqu’à la main. Le colonel n’en revient pas ; c’est brûlant, ruisselant de plaisir, et au vu de la respiration de la jeune fille, cela a eu l’effet escompté. Le colonel commence un léger va-et-vient en elle, il agite ses doigts pour caresser les parois internes de la jeune fille, peut-être à la recherche de ce point qui semble faire exploser les filles en quelques minutes. Hildegarde perd le contrôle de la situation, elle ne doit pas laisser le ...