Le pêcheur converti
Datte: 03/04/2021,
Catégories:
fhh,
hbi,
inconnu,
bizarre,
plage,
bain,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
Partouze / Groupe
fdanus,
hdanus,
init,
merveilleu,
... dévorait avec ardeur et gourmandise. Sa langue vorace s’enroulait tout autour de mon membre. Un divin supplice. Elle ne soufflait mot, la magie, seule, opérait. Et son regard d’ange ! Et cette langue ! Cette langue perverse, serpentine… Le soleil m’aveugla. Je ne suis absolument pas croyant, pourtant il y avait bien du miracle, du divin dans sa ferveur, dans sa prière à ma queue dressée vers le ciel, dans une bandaison terrible. Non, vraiment, je n’étais plus le même. D’ailleurs, c’est à ce moment, quand elle revint m’engloutir tout entier, oui, c’est bien à ce moment-là qu’une vague magique s’est soulevée, formidablement haute. Vous haussez les épaules, je le vois bien. « Yannou, le converti ! Yannou et sa sirène ! » Vous pouvez vous moquer, mais regardez, cherchez dans leTélégramme de Brest. On y parle d’une vague soudaine et merveilleuse, qui fait parfois chavirer les embarcations, du côté du rocher de Mélusine. En tout cas, moi je sais, je l’ai vue, cette vague. Aussi sûr que vous me voyez. Si la Parisienne était sirène ou pas, ça je ne saurais l’affirmer avec certitude. Ce qui est certain également, c’est qu’elle suçait divinement. J’avais fermé les yeux, gagné moi aussi par la ferveur de cette prodigieuse suceuse. Je gémissais, j’ahanais et me déhanchais comme un beau diable, la sirène demeurait obstinément enlacée autour de mon mat. Tout mon être était emporté d’un sublime désir, je tombai à genoux, comme pour demander grâce au Seigneur. « Yannou, me demandai-je, ...
... cette merveilleuse suceuse, serait-ce Mélusine ? » J’avais l’impression qu’elle avait bandé ma queue jusqu’au ciel… C’est à peine si je prêtai attention à la vague prodigieuse qui avait rapidement submergé toute la baie de Lancelot, un voilier sombrait, des touristes hurlaient, je m’en fichais bien, bercé par ma voluptueuse ondine. Mais à présent que je vous en parle, il y a quand même un truc que je trouve bizarre : le raz-de-marée avait tout balayé, sauf le rocher de Mélusine. Ça, c’est franchement étonnant, non ? La sirène s’activait de plus belle… De ses deux mains, elle maintenait fermement, délicatement, ferré mon sexe, qui frétillait comme un merlan, sa bouche vint le décalotter puis l’englober complètement. J’eus comme un scrupule et je jetai un coup d’œil pour vérifier que son ami était hors de portée (il était bien temps de m’en soucier !) Mais je succombais déjà. Sa langue courait sur mon gland, le léchait, le pourléchait, venait laper le frein pour augmenter mon plaisir. Je ne résistais pas, sous l’emprise grandissante du désir, je gémissais de bonheur. De temps à autre, sa langue de démone descendait le long de ma queue, s’enroulait autour de mes couilles… je ne pouvais plus rien lui refuser… Mais elle remonta inexorablement, et son regard mystérieux vint se planter dans le mien et me défia. J’en frissonne encore… — Tu sais, ce n’est pas que dans les légendes qu’on rencontre des sirènes… Allons, mon joli pêcheur, allonge-toi… Son sourire m’avait ensorcelé, et je ...