Le pêcheur converti
Datte: 03/04/2021,
Catégories:
fhh,
hbi,
inconnu,
bizarre,
plage,
bain,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
Partouze / Groupe
fdanus,
hdanus,
init,
merveilleu,
... cédai, m’affalant langoureusement sur les algues. Une brise suave vint m’envelopper et me caresser, et je mis à la voile, sur une mer voluptueuse. Après avoir fait glisser le bas de son maillot, la sirène m’avait enjambé et s’était placée gracieusement à la proue, se maintenant tout en souplesse et douceur, autour de mont mât de misaine, et le suçotait de plus belle. Je commençais à tanguer comme un chalutier pris dans la tempête, un mouvement leste de ses hanches, et je me retrouvai sous la poupe… sa ravissante petite croupe s’approcha de mon visage, me laissant entrevoir d’impudiques et fabuleux trésors. Une merveilleuse petite chatte me narguait et m’enivrait de sa senteur fleurie d’îles paradisiaques, tandis qu’elle tenait bon le cap, par la magie de sa bouche aussi gourmande qu’habile… En présence d’un tel bijou qu’auriez-vous fait, vous ? Moi, je n’en menais plus large, je me sentais bercé tranquillement sur les flots et j’oubliais tout. Son mari, son compagnon, Arthur, Lancelot ou Perceval, peu m’importait, j’aurais été capable de le défier. Je ne pus m’empêcher d’enlacer ses hanches, pour approcher de mes lèvres ces trésors. Oui, vous allez peut-être me trouver idiot, mais je posai des baisers enfiévrés sur ce cul sublime, sur cette jolie chatte de sirène, qui aurait damné Saint Guénolé lui-même. Allongé à la poupe, je suivais du doigt ces courbes, merveilleuses et affolantes de douceur, remontant ou descendant le sillon de ses fesses, caressant dévotement les grandes ...
... lèvres de son sexe, bombé et impudiquement offert, sur toute leur longueur. Elles ne tardèrent pas à s’ouvrir, me laissant découvrir de fines lèvres, roses et nacrées. Là encore, je les parcourais, ému, en les effleurant à peine, tout attentif et concentré, tentant de ne pas perdre tous mes moyens sous les assauts inlassables de sa langue qui me dévorait, elle à la proue de notre vaisseau. Le coquillage s’ouvrit, comme une palourde à la marée montante, et j’aspirai entre mes lèvres le meilleur, plus savoureux encore que les pousse-pied dont les marins espagnols raffolent, son joli clitoris qui luisait comme une perle au soleil. J’eus un soubresaut involontaire, c’était ma queue qui vibrait d’émotion et qui pourtant, ne voulait plus se séparer de sa bouche, je l’entendis gémir. Oui, elle se mit à bredouiller : — … locden-vez… locden-vez talouz… brec hannou…—… lèche-moi… lèche-moi toute… joli pêcheur… Où donc la sirène avait-elle appris le breton ? Je me le demande encore… Et je vais vous faire une confidence, attention, c’est assez cochon … moi, une Parisienne, ou une sirène, qui parle breton quand elle fait l’amour, je trouve ça vraiment bandant… C’était un régal… Impudique et généreuse, elle m’offrait de si bonne grâce son délicat fruit de mer, aux saveurs mêlées d’iode, de pamplemousse et de framboise et de chouchen ! Je me suis mis à lui tenir fermement sa croupe ouverte pour la manger toute entière. D’ailleurs, elle semblait avoir ralenti son activité sur mon membre afin ...