1. Le pêcheur converti


    Datte: 03/04/2021, Catégories: fhh, hbi, inconnu, bizarre, plage, bain, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, Partouze / Groupe fdanus, hdanus, init, merveilleu,

    ... s’affairant sur ma hampe, elle me tétait violemment de sa bouche vorace avec de forts bruis de succions et de plaisir. Sa main droite, elle, venait me caresser les couilles doucement, avec des effleurements circulaires enchanteurs, qui auraient réveillé un mort. Ne plus être soi-même, je ne sais pas si vous avez déjà éprouvé cette sensation… J’étais prêt à me damner pour que cette onde de plaisir et de bonheur qui me submergeait durât pour l’éternité. La malédiction qui planait sur les pêcheurs, du côté du Rocher de Mélusine, je m’en moquais, éperdument ! C’est bien simple, si cette sirène m’avait proposé de me transformer moi aussi en voluptueuse créature de la mer, j’aurais accepté avec joie. J’en étais là dans mes pensées, continuant à laper avec ardeur son minou d’amour, son précieux et si vivant coquillage et je frémissais d’aise et de bonheur sous le plaisir qu’elle me prodiguait. Et elle s’enhardissait, se faisait de plus en plus insidieuse… je sentis d’un coup sa main droite venir caresser mes fesses, descendant dans le tendre sillon. — Fais ce que tu veux de moi, me surpris-je à lui murmurer : j’étais tombé sous son emprise… Sentant que j’avais renoncé à toute résistance, elle appuya ses caresses, tout en continuant cependant à me pomper délicieusement. De son doigt fureteur, elle agaçait ma rondelle, tournant tout autour, l’effleurant, l’ouvrant, s’y glissant à peine… Dieu, que c’était surprenant… mais Dieu que c’était bon !… Je gémissais, je la suppliais ...
    ... intérieurement : « … Oh ma sirène, prends-moi… » Peu à peu, son doigt se fit plus inquisiteur, et mon petit cul d’homme l’accueillit avec joie. Sous l’emprise de la sirène, je me tordais de plaisir, je sentais que je me transformais, je me sentais devenir double, multiple. Certes si mon membre d’homme pointait toujours avec insolence vers le ciel, un promontoire tendu pour le repos de ma sirène, il n’empêche que je me prélassais aussi, comme une créature lascive, ondulant du bassin, avec mon petit trou vaincu, qui cédait, qui s’ouvrait, qui se faisait chatte, qui mouillait de désir, qui avouait, un peu honteusement, son envie d’être pénétré… Pour ainsi dire, je devenais sirène moi aussi, une sirène mâle, mi-homme, mi-poisson. J’avais fermé les yeux, complètement livré à la luxure, continuant à laper comme un petit chat, tandis que je gémissais de plaisir sous son doigt qui, tel un minuscule sexe, son doigt qui me… son doigt qui me prenait, oui, son doigt qui prenait plaisir à m’enculer… Ainsi, je m’abandonnais à elle, quand je sentis, à la croupe cambrée de ma sirène, s’approcher quelque chose d’insolite. C’était comme un rouget vigoureux, qui se mit à bécoter avec moi la petite chatte de la naïade. Je ne m’étonnais plus de rien, et je laissais mon « concurrent » s’associer à mes caresses et frétiller contre la tendre fente, d’autant plus que la sirène, à en juger par ses petits cris redoublés, appréciait grandement notre collaboration. Tout de même, je trouvais la chose assez ...
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