Trois Hommes
Datte: 04/04/2021,
Catégories:
f,
h,
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
... fesses. Paul, uniquement vêtu d’un caleçon, s’est accroupi devant moi et de ses deux mains, il a écarté les chairs de mon sexe impatient. Sa tête a plongé entre mes cuisses. Je le suppliai faiblement : — Non, Paul, arrête, si un voisin sort… Mais l’état de mon sexe en disait trop long, il savait parfaitement que j’en avais envie. J’ai passé ma main dans ses cheveux, et j’ai poussé son visage vers mon entrejambe. J’ai senti sa bouche déposer un baiser sur ma toison, puis un autre, et encore un autre. À chaque fois, il descendait d’un centimètre et se rapprochait de ma chatte. J’ai bientôt senti la pointe de sa langue passer sur mes lèvres, imperceptiblement. J’ai tendu mon bassin vers lui. Alors, il a happé mon clitoris entre ses lèvres et a commencé à faire jouer sa langue dessus. En même temps, j’ai senti ses doigts remonter entre mes cuisses et atteindre mon sexe. Il a commencé à en faire entrer un dans ma chatte, et à le faire aller et venir. J’étais tellement excitée qu’on entendait son doigt clapoter dans ma mouille. Puis, il l’a sorti, trempé, et l’a avancé plus loin, jusqu’à atteindre mon autre orifice. Il n’a entré qu’une seule phalange dans mon cul, mais cela lui suffisait : avec ce doigt, il dirigeait les mouvements que mon bassin faisait, d’avant en arrière, pour exposer mon sexe au contact de sa langue. Paul lapait, et j’ai baissé les yeux pour croiser son regard. Il guettait sur mon visage les moindres signes du plaisir. J’haletais, ma respiration s’accélérait. ...
... Avec mes deux mains libres, je pétrissais maintenant mes seins à pleines mains et pour montrer que cette vision lui plaisait, Paul accéléra les coups de langue. Alors il ne fallut pas longtemps pour que je jouisse : je me cambrai en avant, maintenant sa tête entre mes cuisses. Après cela, il a fallu se dépêcher pour ne pas arriver en retard au boulot. Mais Paul m’a confisqué mon string et mon soutien-gorge, me laissant ainsi nue sous mon tailleur et mon collant pour le reste de la journée. « Comme ça, tu penseras à moi ! » Je suis arrivée au travail avec cinq minutes de retard et j’ai mis cela sur le compte de la circulation. Dans la voiture, j’ai repensé à ce qu’on venait de faire, et il m’a paru évident que c’était Paul, l’inconnu de l’autre soir. C’était la deuxième fois que la cage d’escalier de notre immeuble était témoin de nos ébats. Ainsi, je découvrais chez mon petit chéri, qui prétend avoir des goûts fort classiques, un certain plaisir pour le danger et l’exhibition… Mes pensées ont commencé à dériver, je nous voyais faire l’amour dans toutes sortes de lieux publics. Bientôt, je nous imaginais carrément dans des clubs libertins. À un feu rouge, j’ai passé ma main sous ma jupe : mon sexe trempé avait bavé sous mon collant. J’ai tenté de me calmer. Toute la journée, j’ai été débordée par le travail. C’est une période assez chargée de l’année, tous les ans nous ne manquons pas de dossiers à finir en urgence et nous travaillons dans une ambiance un peu tendue. Vers 10 h, ...