1. Trois Hommes


    Datte: 04/04/2021, Catégories: f, h, fh, fplusag, Collègues / Travail amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral

    ... on a frappé à la porte de mon bureau : c’était ma patronne. — Emma, je crois savoir que vous avez beaucoup de boulot. Je vous amène du renfort. Le renfort en question, c’était le stagiaire. Cette idée ne me fit pas tellement plaisir, mais ma chef anticipa : — Vous traiterez un ou deux dossiers avec lui, quitte à prendre plus de temps pour lui expliquer. Ensuite, vous le laisserez en faire seul et vous continuerez votre travail. À la fin de la journée, accordez-vous une heure pour revoir ensemble son travail et corriger les erreurs. Quand il sera rodé, il vous assistera jusqu’à ce qu’on boucle les dossiers, ça vous fera gagner du temps. La porte s’est déjà refermée, laissant seul dans la pièce, debout et mal à l’aise, ce grand couillon de stagiaire. Il n’a pas l’air de savoir où se foutre. Je crois que je le mets mal à l’aise. Vu les regards insistants qu’il a porté à ma poitrine ces derniers jours, j’imagine qu’à l’heure actuelle, il doit être à la fois tout excité et un peu inquiet. Cette situation m’amuse. Visiblement, il me considère avec respect, comme une « dame », alors que je n’ai même pas dix ans de plus que lui. — Ok, viens ici. C’est quoi déjà ton prénom ? (je réalise que je ne lui ai en fait jamais prêté attention…)— Nicolas, madame.— Ok, Nicolas. Tu m’appelleras Emma, hein ? Je suis pas encore assez vieille pour « madame ».— Euh… Oui, bredouille-t-il difficilement et les joues un peu roses. Je me lève pour lui installer une chaise, sur laquelle j’avais posé mon ...
    ... manteau. Je la place à côté de la mienne afin qu’il puisse voir ce que je fais et suivre tout en prenant des notes. — Viens t’asseoir à côté de moi… La situation, sa maladresse m’amusent, et je décide d’en jouer un peu. — … Allez, n’aies pas peur ! Je me retiens pour rajouter quelque chose comme « Je ne vais pas te manger ! », mais c’est peut-être trop suggestif, et surtout trop le prendre pour un idiot. Je lui fais un petit sourire et il vient s’installer, bloc-notes en main. Je remets mes lunettes sur mon nez, parce que je sais qu’elles me donnent un air un peu sévère, genre dominatrice ou secrétaire perverse, qui le décontenancera un peu plus, surtout si je le regarde par en-dessus. Ben quoi, je sais, c’est puéril de ma part, mais puisque je vais devoir le côtoyer plusieurs jours, autant que je m’amuse un peu ! Nous commençons donc à aborder le premier dossier. Passons sur les détails ennuyeux sur la manière dont on les traite, et revenons à notre Nicolas. Il est studieux. Il parle peu. Ne pose pas de questions. Des fois, je me demande même s’il comprend bien ce que je lui montre. Il a l’air un peu bête. À la fin du premier dossier, je le charge de commencer le suivant, le temps de me prendre un café. Je lui en propose un, qu’il refuse poliment. Je me lève alors. J’ai ma propre cafetière dans mon bureau, ce qui, je crois, est considéré comme un grand luxe dans certains secteurs, comme le signe d’un statut haut placé, mais qui chez moi, signifie juste que j’en bois beaucoup ...
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