La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 625)
Datte: 01/11/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... souhaite... Je suis rassuré d’être sur les Terres de Monsieur le Marquis d’Evans. C’est donc avec confiance que je m'engage sur le chemin indiqué en pensant n'être plus qu'à quelques centaines de mètres du Château et que j’aurai donc réussi ma mission. J'entends soudain un 4x4 arriver dans mon dos. Je me demande ce que peuvent bien vouloir encore ces chasseurs. Je me mets sur le côté pour me cacher dans le petit talus en m'abritant quelque peu derrière un arbuste et j'observe le 4x4 arriver. Mais ce n'est pas celui des chasseurs ! C'est une femme au volant. Elle passe doucement, et je la reconnais, c'est Marie, la perverse cuisinière, je pense qu'elle ne m'a pas vu. Malheureusement quelques mètres plus loin les lumières rouges des freins s'allument, puis les lumières blanches de la marche arrière. Elle recule jusqu'à ma hauteur. Elle ouvre la fenêtre : - Qui se cache ici ? Je sors de mon arbuste et me présente nu devant elle. - Toi ? Mais qu'est-ce que tu fous ici à poil ? Je ne peux pas répondre, ayant la bouche pleine, et lui indique avec l'index la direction du Château en espérant qu'elle comprenne que c'est là-bas que je me rends. Madame Marie n’a pas l’air contente. Elle sort de son véhicule une grosse corde en forme de lasso et m’enserre la taille avec tout en serrant le nœud coulant. Puis, elle attache, au timon de son véhicule, l’autre extrémité de la corde. Madame Marie s’approche de nouveau de moi et m’empoigne mes couilles et les enserre fortement, ce qui me fait ...
... crier, puis elle tire sur ma nouille et avec un ton sévère, elle me regarde droit dans les yeux, pour me dire sèchement : - Tu vas me suivre ainsi le chien, attaché et en petites foulées, obligé de suite la vitesse lente du 4x4. Je suis donc obligé de trotter étant tiré par la corde qui me blesse un peu la peau du bas du dos. Marie la cuisinière emprunte un petit sentier qui part sur la droite puis arrête le moteur. Elle prend un sac de sport sur la banquette arrière et m’exige de la suivre. - Les chiens doivent répondre quand on leur parle, les chiens n'ont pas à se promener comme ça, nu dans la forêt. Tu vas être puni. Tu ne voulais pas parler, et ben que je ne t'entende pas maintenant, sinon gare à toi. Passe tes bras autour de ce grand chêne, me dit-elle tout en détachant la corde au timon et m’approchant du gros arbre. La perverse cuisinière m'attache à ce grand chêne en reliant mes deux poignets avec la corde lasso. Très efficace me voilà face à l'arbre, cul vers elle à sa merci. Je ne pense qu'à une chose, ne pas cracher le sperme. Je la sens s'affairer dans son sac pendant quelques minutes. - Tu vas prendre dix coups de fouets et ensuite je vais t'enculer avec mon gode-ceinture, ça t'apprendra à ne pas me répondre et à te promener nu en forêt. Le premier coup de fouet est une horreur. C'est une douleur immense qui me fend le bas du dos, les fesses et je me dis que je ne voudrais jamais plus subir cela et pourtant il va falloir en encaisser neuf autres. Le problème est ...