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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 625)
Datte: 01/11/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme
... que la douleur des autres coups est toute aussi immense et que je ne peux laisser éclater ma douleur par peur de cracher le sperme de ma bouche. Je retiens mes cris mais pas mes larmes qui coulent sur mes joues. Mes reniflements entravant ma respiration ce qui me force à cesser de pleurer au risque de devoir respirer par la bouche. Ma douleur a attisé le plaisir sadique de Marie qui prend un plaisir incroyable à me voir souffrir ainsi. Le comble est que cette douleur, la situation à laquelle je me trouve, m’excite au plus point ! En effet, je me surprends de bander et fortement en plus ! Oui, une forte érection gonfle mon sexe au fur et à mesure que les coups de fouet s’abattent sur moi. Ma nouille dressée trouve difficilement sa place entre mon bas-ventre et l’écorce de l’arbre qui titille mon gland par sa rugosité. Madame Marie s’arrête au dixième coup et caresse avec perversité mes fesses rougies. Après quelques secondes d’attente dans un silence complet, elle enfile sans tarder un gode-ceinture et se présente derrière moi en observant ma souffrance en me tirant les cheveux en arrière afin de me faire relever la tête. Elle me tient ainsi la tête pour m'observer et présente l'épais et long gode à l'entrée de mon cul encore béant des sodomies des deux chasseurs. La perverse cuisinière ne tarde pas à me l'enfoncer bien profondément et sans prévenir d’un seul coup, ce qui me fait d’abord crier de douleurs. Elle reste attentive à chaque lente pénétration, à chaque va et vient ...
... profond mais lent, du mélange de souffrance et du plaisir qui se lit sur mon visage. Elle m'encule comme ça en prenant le plus grand plaisir à appuyer chacune de ses pénétrations pendant de longues minutes mais avec une perverse lenteur afin de bien me faire sentir qu’elle prend totalement possession de mon fondement. Peu à peu la douleur laisse place à l'excitation de se sentir ainsi possédé, humilié, enculé. La perverse cuisinière desserre un peu la corde afin de se saisir soudain de ma queue raide et commence à me masturber ce qui contribue à augmenter encore plus le plaisir ressenti. Madame Marie alterne et mélange ainsi sodomie et masturbation énergique durant de longs coïts profonds où elle reste ainsi bien plantée dans mes entrailles. Mon cerveau perd le contrôle des sensations et je ne me concentre que sur une seule chose : ne pas cracher le sperme de ma bouche. Au bout d’un moment, je ne tiens plus de sa branlette effrénée et c’est dans une jouissance extrême, que je lâche le sperme sur le tronc de l'arbre. Marie profite de cette éjaculation pour me donner d’ultimes coups de boutoirs profonds en de vigoureux coups de reins et ainsi elle m’encule jusqu’à la garde. J'en mets un peu, du foutre, sur la main de Marie, qu'elle essuie négligemment sur mon cul tout en m’insultant vigoureusement. Puis, Madame Marie se retire calmement, range ses affaires, les met dans le 4x4 et dans un élan de bonté me détache de l'arbre. Elle me dit de me dépêcher de rentrer au Château, et ...