Du tac au tac 3
Datte: 05/04/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... pourquoi elle avait déposé sa culotte, tu n’avais pas à la peindre, tu as su en profiter, bandit. - Après toi, c’est la meilleure affaire de ma vie sexuelle. Je ne regrette pas le plaisir que j’ai pris avec elle quand je te supposais en train de t’offrir nue à Charles. Je ne m’en vante pas non plus. L’erreur est humaine et tu peux reconnaître que ton attitude m’a aidé à tomber dans ce piège. - Hum ! J’aurai intérêt à me méfier de la jeune épouse. Recommence et je t’arrache les yeux et les couilles ! - J’ai aussi une question. J’aimerais des précisions. Tu te dénudais complètement et tu prenais la pause devant Charles. Comment Charles a-t-il pu résister à la tentation, est-il aveugle, tu es si belle dans ta maturité épanouie? Se déshabillait-il ou mettait-il un chapeau pour peindre? - Hi, hi ! Quelle idée saugrenue ! Un chapeau…que c’est drôle : - J’ai en mémoire le tableau de Courbet assis à côté de son modèle féminin nu, debout, qui tient un drap devant elle. Lui est habillé. Il est vrai qu’il y a du monde à droite et à gauche sur cette peinture de « l’atelier du peintre » Mais vous, vous étiez seuls, vous pouviez être nus tous les deux. Autre question, Charles n’a-t-il peint que ce tableau de toi ? N’a-t-il pas voulu imiter Courbet en peignant « l’origine du monde » ou « la femme au bas blanc » dans le but d‘avoir lui aussi ton portrait et une représentation de ton sexe ? - Ah ! Les dégâts sont plus importants qu’il n’y paraissait! Tes comparaisons prouvent combien tu as ...
... été affecté. J’en suis désolée. La culotte t’avait convaincu de mon adultère et chaviré. Tu reçois ton cadeau et tu devrais remercier, mais ton imagination s ‘enflamme de nouveau. Tu te représentes le peintre nu avec ta femme nue sur un lit ; quoi qu’on fasse, je suis la femme infidèle. Eh ! Bien non. Ce tableau de moi est unique et nous n’avons pas forniqué comme tu tiens à t‘en persuader. Attends, je change le cd. Les deux autres restent collés dans l’attente de la musique. Tout est neuf, le passé oublié. Si seulement je pouvais croire Marie. - Ça est ? Plus de questions ? M’aimes-tu ? - Si je ne t’aimais pas, tout serait plus facile. Je n’arrive pas à croire qu’un homme normalement constitué ait pu te voir nue sans avoir envie de toi et sans tenter de te séduire. Moi je n’ai pas pu, souviens-toi, quelle nuit ! Devant tant d’enthousiasme tu t’étais rendue, donnée ! Or je connais Charles, pour lui ta nudité a dû constituer une source permanente et violente de désir charnel. Il ne l’aurait jamais manifesté en paroles ou en gestes? C’est plus qu’étonnant, incroyable. - Il y a loin du désir au passage à l’acte. Ton ami est un gentleman. J’ai remarqué à l’occasion une bosse là où tu sais ou j’ai entendu des compliments exagérés sur la beauté de telle ou telle partie de mon corps, j’ai également senti une sorte de tension lorsqu’il venait rectifier ma position, mais… - Mais il n’a pas tenté de t’attendrir sur le sort d’un malheureux célibataire ? Et toi, tu es restée insensible à ...