La découverte - Histoires de Sexe

La découverte

... mais à chaque fois il termine sa visite par quelques coups sur les fesses et même, mais plus légers, sur ses seins, son ventre et sur sa fente. Claire s’échauffe sous les sollicitations. Il voit son regard implorant. Mais à la façon dont elle se tortille, il sait que ce n’est pas si douloureux, et qu’au contraire elle attend la suite. Son bras se lève avec une ampleur qui annonce un coup puissant. Il a compris que le geste fait croire à des coups plus violents qu’en réalité. — Arrêtez, vous êtes fou. Une voix s’élève au seuil du grenier. Charles découvre le voisin dans l’embrasure. — Mais que…— Charles, je vous en prie, ne la frappez pas. Ne soyez pas de ces maris qui violentent leur femme. Je ne vous connais pas beaucoup, mais vous n’êtes pas de ces esprits tordus, malsains qui n’ont que le courage de frapper plus faibles qu’eux.— Ce n’est pas ce que vous croyez.— Moi, je crois ce que je vois. Vous alliez la frapper. Heureusement je suis arrivé à temps. J’ai sonné, mais comme personne de répondait et que la porte n’était pas fermée, je me suis permis…— Mais bien sûr et comme ma voiture n’était pas là vous vous êtes dit : « Tiens, je vais aller voir Claire. Elle doit être seule. Je tirerais bien un coup. Cela fait longtemps. Je vais me la faire… »— Ce n’est pas ce que…— Henri, je sais très bien que vous êtes l’amant de ma femme. Je le sais, car je vous ai vus. Tous les deux. Dans la chambre, dans le jardin…— Vous savez ?— Oui.— C’est pour cela que vous la battez. Vous vous ...

... vengez ?— Oh que non. C’est juste un jeu entre nous. Mais vous tombez bien, elle est toute chaude. Si vous voulez en profiter !— Sérieux ?— Quoi, cela vous choque ? Vous voulez bien baiser, mais sans le mari ?— Pas du tout. Avec mon ex, on était assez libres et moi aussi je pouvais la regarder avec un autre.— Alors je vous en prie… L’homme hésite à peine. Il échange un regard avec Claire qui le rassure. Mais il n’ose pas lui enlever le plug qui sert de bâillon. C’est le choix du mari. Le mari qui justement va s’installer sur un vieux canapé. Henri s’approprie le corps de sa maîtresse. Elle ondule sous ses caresses. Son mari ne l’a pas bloquée totalement. Les liens sont suffisamment lâches pour qu’elle puisse bouger et il retrouve les sensations. Cette façon dont Claire vient au-devant de lui. La chatte qu’il découvre détrempée. Ce regard, lorsqu’il se déshabille et montre une belle érection… Charles regarde. Il voit la queue noueuse qu’il a déjà vue, mais ici elle lui paraît plus grosse. Il regarde comment l’homme fléchit les genoux pour la placer entre les cuisses de sa femme. Il constate aussi comment, bien qu’attachée, elle cherche à lui faciliter le travail. Les amants sont réunis. Claire gronde. De la commissure des lèvres, de la salive coule. L’homme la maintient contre lui, les mains plaquées sur les hanches. Ils sont face à face, corps contre corps, seuls les reins de l’homme s’activent pour posséder la belle soumise. Charles est ému et pourtant il a vu beaucoup de ...