1. La découverte


    Datte: 05/04/2021, Catégories: fh, fhh, fhhh, extracon, cocus, nympho, boitenuit, entreseins, Oral pénétratio, Partouze / Groupe attache, confession,

    ... séparent de la chambre comme un voleur. Et il voit. Il voit par la porte entrouverte sa chambre inondée de soleil. Un soleil qui illumine crûment le lit et les protagonistes. Les pensées se bousculent. C’est fou comme le cerveau peu s’attacher aux détails dans des moments comme cela. Il la tutoie. Pourtant il la connaît peu. Il est poilu. Son torse est habillé d’une épaisse toison. Ce n’est pas une surprise, car on pouvait le remarquer par ses chemises toujours entr’ouvertes. Même ses fesses sont recouvertes d’un fin duvet. Les mains de Claire semblent en apprécier la douceur. Il est déjà nu. Il ne lui a pas fallu beaucoup de temps pour venir et séduire sa femme au point de coucher avec. Elle a dû le recevoir en nuisette et qui résisterait à ses charmes ? — Putain, j’adore quand tu me pompes comme cela. J’y pensai déjà alors que je saluai ton mari qui partait courir sans se douter que c’était le signal pour venir te rejoindre. Ce n’est pas la première fois manifestement. « Tiens, il est poilu de partout, mais pas ses couilles ni son pubis ». Et puis il intègre la vue d’ensemble. L’homme debout. Sa femme assise sur le lit qui pompe le dard imberbe, mais puissant, torturé. La bouche qu’il connaît si bien avec les lèvres ourlées.« Tiens, elle a pris le temps de se maquiller », soulignant le rose des lèvres par un rouge vif qu’il ne lui connaît pas. Cela lui donne un drôle d’air. Une bouche qui paraît gourmande, vorace, mais déformée par le mandrin qu’elle avale. — Tu aimes ...
    ... cela, hein, cochonne ! Claire ne fait qu’un mouvement de tête qui confirme. — Attends, je vais te baiser la bouche et je vais te cracher mon foutre, tu veux ? Même mouvement d’acceptation. — Tu aimes mon foutre. Tu vas l’avaler. Tu sais que j’aime cela. Claire ne peut déjà plus acquiescer, l’homme s’est emparé de sa tête et il se baise dans sa gorge. C’est violent. Charles entend distinctement le bruit de la salive que la queue brasse. La salive qui coule des commissures des lèvres et tombe sur les seins de sa femme. Il la voit pleurer lorsque l’homme la bloque contre lui, sa queue totalement disparue, ses couilles et son pubis caressés par les lèvres rouge vif. Des lèvres de… oui, des lèvres de pute qui fait une passe entre deux escaliers. C’est troublant. Jamais il n’aurait osé faire la même chose. Cette façon de soumettre une femme à sa volonté. La transformer l’espace d’un instant en pute qui ne peut pas refuser. Et pourtant Claire ne se refuse pas. Pire, Charles peut voir les mains sur les fesses de l’homme qui accompagnent le mouvement. Si elle n’était pas d’accord, il lui suffirait de le repousser. La main, véritable battoir, pousse la tête vers le ventre. Charles semble deviner un bout de langue rose qui s’étire pour lécher les couilles. — Salope. Oui, lèche-moi les couilles, je viens, je viens… Claire recule pour ne pas être étouffée, mais elle garde tout de même la plus grosse part de la bite en bouche. Une bouche déformée avec une bosse qui moule un gland cracheur. ...
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