La découverte
Datte: 05/04/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
fhhh,
extracon,
cocus,
nympho,
boitenuit,
entreseins,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
attache,
confession,
... musique cesse l’espace d’un instant et qu’il arrive à entendre, ce qui ne devait être qu’un échange entre deux amis ? — Tu devrais venir à la caserne. Les copains ont péché une bourgeoise qui en veut. Charles comprend presque aussitôt. Le temps de vérifier que sa femme n’est plus sur la piste de danse et il déduit que la « bourgeoise », c’est Claire. Les deux hommes s’éloignent. Il les suit discrètement. Alors qu’ils passent par une porte dérobée de la caserne, il a la présence d’esprit de bloquer le vantail avant qu’il se referme. Monter quelques marches se fait sans bruit. Là-haut, il entend du bruit. Un vestiaire éclairé, la porte grande ouverte. Restant dans une ombre propice, il est aux aguets. Il s’avance et découvre. Une femme allongée sur un banc. Des hommes qui regardent. Un homme qui est face à la femme, les chevilles de cette dernière dans les mains, les tirant vers le plafond et ouvrant, d’un angle vertigineux les cuisses entre lesquelles il s’est glissé. Nul doute qu’il soit en elle, étant donné la façon dont il bouge. Mais ce n’est pas tout. En face, un autre homme. Un homme qui enjambe la femme et qui se branle entre les seins de celle-ci. Celle-ci, il peut bien sûr lui donner un nom. C’est Claire, son épouse qu’un homme baise alors qu’un autre utilise le sillon mammaire comme un conduit intime. Le sillon que Claire provoque poussant ses deux magnifiques seins l’un contre l’autre et qui forment une grotte humide. Mais la queue que l’homme propulse dans la « ...
... cravate de notaire » ne fait pas que cela. Souvent, il se retire assez, libérant le visage de la femme adultère, pour découvrir la chaleur d’une bouche vorace qui suce et lèche afin que la bite glisse sans frottement dans le sillon. C’est comme un film porno. Un gang-bang où l’actrice enchaîne les actions. Sauf qu’ici, c’est Claire l’actrice. Le nombre de capotes qui jonchent le sol et l’amas gluant sur le ventre des éjaculations répétées sont la preuve quasi mathématique que plusieurs hommes l’ont possédée, la souillant par leur foutre généreux. Encore une fois, Charles est entre honte et découverte. Mais il décide à nouveau de ne pas intervenir. Il s’en va. Il quitte la caserne, mais reste dans le noir, juste après la porte dérobée. Combien de temps après, combien d’hommes supplémentaires, pour que sa femme apparaisse. Le voyant, elle comprend. Il ne dit rien, mais elle s’effondre. Elle ne cherche pas à se justifier si ce n’est par : — Je ne comprends pas. Je n’arrive plus à me contrôler. Charles, je ne demande pas ton pardon, ce que je fais est impardonnable. Mais sache, même si ce n’est pas une excuse, que je pense à toi, encore et encore. Écoute, je suis malade, il faut me faire enfermer dans un hôpital spécialisé afin que je ne devienne pas une femme qui s’offre à tous et te fasse honte. Chéri, pardonne-moi. ******************** — Je comprends, dit le juge. Mais avez-vous envisagé un dérèglement hormonal, une maladie, que sais-je un cancer du cerveau qui l’a perturbait ...