Bal masqué (4)
Datte: 01/11/2017,
Catégories:
Transexuels
... de filles qui plus est. Et puis voir Léa galocher sa copine commençait à m’énerver. Lorsqu’on sortit du restaurant, je m’excusai et décidai de rentrer. Léa ne me retint pas, trop contente de ne plus jouer les baby-sitters. Je repris le train pour Rueil. La maison était éclairée. Ce qui ne m’étonna pas outre mesure. Mais si la découverte de l’homosexualité de ma sœur m’avait remué, ce que je vis en entrant dans le salon fit l’effet d’un tsunami. Une femme que je ne connaissais pas, quasiment nue, était assise dans le canapé. Entre ses cuisses, une autre femme que je reconnus pour être ma mère. Et pas besoin d’ouvrir Wikipédia pour comprendre ce qu’elles faisaient. La femme tapota sur l’épaule de Maman et comme elle ne réagissait pas, elle l’attrapa par les cheveux pour l’obliger à se redresser. — Mais qu’est-ce que tu fais là ? me demanda-t-elle. Tu n’étais pas avec ta sœur ? Je fis non de la tête. — Je m’ennuyais, dis-je d’une voix blanche. Je faillis ajouter « pas comme vous » mais je m’abstins. Maman, tout comme son amie, n’était vêtue que de leurs bas retenus par des jarretelles. — Je te présente Joëlle, une amie. Attirés par la discussion, mon père arriva dans le salon suivi par un autre homme. Surement le mari de Joëlle. Les deux hommes étaient nus, leurs sexes encore dressés. — Bon, pas la peine de te faire un dessin, continua Maman. — Non, pas la peine. Je vous laisse continuer. — Dommage, lâcha Joëlle. Je me serai bien tapé un petit jeune. — Jo ! Voyons. C’est mon ...
... fils quand même ! — Et alors ? Tu n’es pas obligé, toi. Tu n’auras qu’à regarder. Je les laissai parler et entrai dans ma chambre. J’hallucinai. Mes parents partouzaient. Entre hommes et entre femmes. Et pire encore, la copine de maman voulait coucher avec moi. Ça ne me faisait même pas bander. La porte s’ouvrit, laissant passer Joëlle, les seins fermes en avant. — Viens, me dit-elle en me prenant par la main. Je résistai, elle serra ma main plus fort et me tira jusque dans le salon. Je regardai Maman. Elle souriait. Visiblement, elle était d’accord. Joëlle se mit à mes pieds, défit les boutons de mon jean et libéra mon sexe. Elle l’emboucha. Le souvenir de la fellation avec Marion remonta. Mais très vite, je me rendis compte que Joëlle savait bien mieux s’y prendre. J’étais dans un état second, incapable de réagir. Une femme que je ne connaissais pas me suçait devant mes parents, complices, qui n’en perdaient pas une miette. Totalement surréaliste ! Comment avais-je pu en arriver là ? Frustration d’adolescent, soirée pourrie, sentiment de pas assez après l’aventure avec Marion. Et on m’offrait sur un plateau en or massif ce que je désirai. Alors, pourquoi m’en priver ? Tant pois pour les convenances et le politiquement correct. Mon sexe grandit très vite et tout aussi vite, je me vidai sans prévenir dans sa bouche. Surprise, elle recracha ma semence. — Et bien alors mon chéri ! Finalement, ça t’excite, railla Maman. — Désolé, dis-je. — Pas grave mon chou, répliqua Joëlle, ...