L'arroseuse arrosée (1)
Datte: 06/04/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Je me présente : je m’appelle Benjamin, j’ai 40 ans, et je suis marié à une magnifique femme qui se prénomme Delphine qui en a 35. Nous pratiquons le sexe libre et sans limites. J’ai déjà raconté sur ce site quelques aventures. Cet été, nous sommes partis, ma femme, mes enfants et moi, en vacances 3 semaines près d’Avignon dans un petit camping familial avec mes beaux-parents, la tante de ma femme et ses 2 fils. Nous sommes tous réunis pour un mariage d’un autre cousin de ma femme. La tante de ma femme, Sonia, a élevé seule ses fils, Ludwig et Stanislas, après le décès de leur père lorsqu’ils étaient très jeunes. Elle ne s’est jamais remise en couple après. Ludwig et Stanislas sont des faux jumeaux d’à peine 18 ans : nous avons fêté leurs anniversaires en mai dernier. Ce sont des geeks par excellence. Ils sont toujours ensemble et ne sortent de leur mobile-home que pour aller chasser les Pokémons avec leurs portables. Ils sont très grands – plus de 1,95 m – mais très filiformes, du type basketteurs. À plusieurs reprises, j’ai remarqué que leurs yeux restaient figés sur ma femme, leur cousine, et plus précisément sur ses décolletés ou le haut de ses cuisses. Particulièrement pendant ses séances de piscine et de bronzage. Il faut savoir que ma femme déteste les marques de bronzage ; donc, dès que l’occasion se présente, elle se met topless et rentre son bas de maillot de sa raie pour en faire un string. Les ayant démasqués, j’en discute avec Delphine et nous décidons de les ...
... aguicher un peu. Deux jours plus tard, après une matinée relativement calme, nous nous réunissons pour manger tous ensemble. Nous arrivons les premiers, sans les enfants, au mobil-home de Sonia où se trouvent aussi les jumeaux en train de jouer sur leur téléphone. Delphine et moi faisons le tour pour les bonjours habituels. Je remarque que les jumeaux ne perdent pas une miette de la tenue leur cousine. Elle a sur elle une robe de plage vert clair bandeau sans soutif. Une idée me vient en tête et j’attends le moment opportun pour la mettre en œuvre. Cette occasion arrive peu de temps après. Faisant tomber la clé de notre mobile-home, Delphine se baisse à côté de moi. Sans qu’elle le remarque, je mets le pied sur sa robe et attends qu’elle se lève. N’ayant pas vu que je marche sur sa robe, Delphine se lève d’un coup ; sa robe retenue libère sa poitrine qui est exhibée à la vue de tous, et surtout devant ses deux cousins qui ne perdent pas une miette du spectacle ! Je fais mine de m’excuser, et Delphine, surprise, remonte sa robe rapidement. Ludwig n’arrive plus à parler et se précipite dans sa chambre, le visage rouge vif. Quant à Stanislas, il reprend vite fait son portable et bredouille une excuse de Pokémon pour partir dans le camping. Une fois seuls sur la terrasse, Delphine me tape sur l’épaule. — Tu aurais pu me prévenir que tu allais faire ça ! — Si je t’avais prévenue, ça aurait eu l’air moins naturel. — T’as raison. Tu crois qu’ils ont apprécié la vue ? — Tu rigoles ! Sûr ...