1. L'arroseuse arrosée (1)


    Datte: 06/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... ça… Je cherche à savoir pourquoi tu as une sensualité aussi débordante. — Parce que je suis comblée, niveau cul ; et une femme comblée rayonne de mille feux. — Je remarque ça : tu transpires le sexe, et dès que nous te voyons on ne peut pas s’empêcher de bander ! L’alcool aidant, les cousins se lâchent. Au lieu d’être surprise de leur attitude, je me laisse piéger par leurs questions de plus en plus précises. Stanislas enchaîne : — Dis-nous : tu aime le sexe en général ? — Oui. Et pas que ! — Comment ça ? — Je vous en ai trop dit, excusez-moi. — Non, vas-y, cousine, développe : ça restera entre nous. — Bon, vous le dites à personne. Des fois, avec Benjamin, nous faisons des petits jeux sexuels. — Comment ça ? Vous vous déguisez, et tout et tout ? — Oui, c’est ça ; et pas que ! Mais bon, je ne vais pas vous raconter toute ma sexualité. — Allez, fais pas ta relou ! Au pire, on fait un action ou vérité. — Pfff ! Ça fait des siècles que je n’ai pas joué à ce jeu, mais pourquoi pas ? — Super ! On prend cette canette vide, on la fait tourner, et celui qui est devant le goulot doit poser une question ou un gage à l’un des deux autres. Mais attention : si on pense que la réponse est fausse, il faut prouver ses dires au sceptique, sinon gage obligatoire ; et si le gage n’est pas réalisé, il y a une punition décidée par les deux autres. OK ? — OK. — Qui commence ? — Toi, cousine : tu es la seule femme. — Merci. Je fais tourner la canette ; c’est moi qui dois commencer. — Ludwig, ...
    ... action ou vérité ? — Action. Je commence soft. — Va dehors et hurle comme un loup à la lune. Il le fait sans hésiter et rentre dans le mobile-home juste après ma validation. Il fait tourner la bouteille. C’est Stanislas qui est désigné. — Delphine, action ou vérité ? — Vérité (j’aurai plus de chance de me dérober). — OK. Es-tu plutôt poilue ou complètement rasée ? — C’est quoi, cette question ? — Réponds, sinon tu as un gage ! Je commence à les cerner : ils vont me poser que des questions de ce style, ces deux loustics ; je dois me méfier. — Épilée. — Menteuse ! Il ne perd pas une occasion : pas si naïf que ça, le Stanislas… Je lui prends la main et la passe sous ma jupe et mon body, je la pose sur mon mont de Vénus imberbe. Il ouvre grand les yeux et la bouche. Je retire sa main et lui fais un sourire pour le narguer. Je relance la bouteille ; elle s’arrête sur Ludwig. — Cousine, action ou vérité ? — Vérité. — Pfff… T’es nulle ! Tu ne vas quand même pas faire que des vérités ? — Non ; mais là, c’est vérité ! — OK. Dis-nous : est-ce que tu étais complice pour nous exciter quand Benjamin a fait exprès de marcher sur ta robe ? — Non ! Bien sûr que non ! — Menteuse ! — Comment ça ? Prouve-le alors ! Je fixe Ludwig droit dans les yeux avec un petit sourire au coin de la bouche ; il ne peut absolument pas prouver le contraire. Enfin je le pensais… Ludwig prend son téléphone et fouille dedans. En me fixant à son tour, il appuie sur une bande son. Aux premières paroles, je reconnais la ...
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