1. L'arroseuse arrosée (1)


    Datte: 06/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... partirai pas sans avoir eu ma promesse. Ludwig se retire et s’allonge sur le dos ; je m’empale sur sa bite et commence les va-et-vient. Stanislas, maintenant nu lui aussi, se place derrière moi. Je sens un truc froid sur ma rosette ; après une petite résistance, elle entre en moi. C’est trop petit pour être sa bite. Je tourne la tête et vois Stan se lubrifiant la bite avec des petites plaquettes de beurre. J’y crois pas… il vient de m’en mettre une dans le cul ! Il m’en met une deuxième, puis une troisième. Je sens maintenant ses doigts entrer dans mon cul. Directement deux, puis trois, et enfin il présente son gland. Son frère me tient serrée contre lui ; son gland entre sans résistance et je sens son chibre coulisser dans mon rectum tout doucement. Il se cale à fond en moi. Je me sens pleine ; je suis pleine. Ils commencent à bouger chacun à son rythme pour petit à petit bouger au même rythme. Rythme qui augmente au fur et à mesure de mes couinements et de mes ondulations. J’ai l’impression qu’ils vont me perforer de part en part. Je crie de toute ma voix, je jouis de mes deux trous constamment. J’ai la tête qui tourne, je vais tomber dans les pommes. Enfin je les sens gicler dans mes cavités. Leur sperme chaud me remplit et déborde. J’ai les jambes en coton. Stan se retire le premier et me cale sa bite dans la bouche. Je le suce sans réfléchir ; il a le goût de mon cul et de son sperme mélangés. J’aime ça. Ma pipe post-coït lui redonne de la vigueur. Son frère fait de ...
    ... même ; je le nettoie, et il reprend de la vigueur aussi grâce à ma langue experte. Ils changent de trou. La joute est encore plus intense ; ils sont plus endurants. Ils se mettent à me prendre en double vaginale ; ils tentent la double anale mais échouent, heureusement pour moi ! Tout à coup, ils se retirent en même temps et me mettent à genoux devant eux, se branlent et éjaculent sur moi. Les premiers jets arrivent directement sur mon visage et mes cheveux, les autres terminent sur mes seins libres ; je tire la langue pour récupérer cette merveilleuse semence. Tour à tour ils se font lécher pour avoir une bite bien propre. Les deux frères s’affalent sur le canapé et me regardent, souillée, le maquillage coulant. Ils me prennent en photo ; je n’ai plus la force de dire quoi que ce soit, alors je les laisse faire : ils ont mérité leur trophée. — Tu as aimé, cousine ? — Oui. Vous m’avez surprise, à vrai dire : je ne vous pensais pas aussi pervers. — Mais tu n’as encore rien vu, ma chère ! - Me dites pas que vous avez encore du jus : je ne vous croirais pas. — Du jus, pas pour l’instant ; mais tu ne vas pas t’en sortir comme ça, cousine : tu vas gouter à notre spécialité ! — Tu crois qu’elle peut le faire ? dit Stan à son frère. — Bien sûr. Regarde maman : elle a eu deux enfants comme elle, et sans compter la double vaginale qu’elle vient de faire sans résistance. Maman le faisait bien avant de réussir la double. — Tu as raison ; je vais chercher ce qu’il faut. Qu’est ce qu’ils ...
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