1. L'arroseuse arrosée (1)


    Datte: 06/04/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... mon vagin ; cette sensation me provoque un énième orgasme. Quand je reviens sur terre, Ludwig est déjà dans mon cul et me lime sans retenue. Stanislas a pris le relais pour filmer. — Stan, passe-moi le beurre ! — Qu’est-ce que tu veux en faire ? — Passe, putain ! Stanislas le lui passe et reprend le cadrage de la scène. Je n’ai plus de forces pour quoi que ce soit. Je n’ose même pas imaginer ce qu’il a en tête, mais ça ne peut pas être pire qu’un double fist. Je me suis trompée ! Il se retire et commence à me fourrer de plaquettes de beurre comme si j’étais une dinde de Noël. Il ne va pas tenter… Mais si : je commence à sentir ses doigts autour de ma rosette dilatée. Je ne sens même pas les doigts entrer, juste son poing cogner sur mon sphincter. Il est plus violent que son frère ; il me fait bouger sur le sol. J’essaie de me retenir au canapé mais ma tête cogne sur le pied à chaque mouvement de sa part, mon visage frotte le sol. Stanislas me donne un coussin pour poser ma tête. Son poing entre d’un coup. Il ne s’arrête pas là : immédiatement après, il me pistonne comme un fou. Des bruits obscènes de beurre fondu et de foutre mélangés se font entendre ; je jouis en continu. Il se retire, fait prendre par son frère des photos – en mode selfie et autres – de mes orifices distendus. Il prend la bouteille de bière qui traîne sur le sol et me l’enfonce sans résistance dans le cul. — Tiens, cousine : un joli gode pour te rappeler cette soirée. Difficilement, j’articule : — Vous ...
    ... n’allez pas me laisser comme ça ! Je vais me nettoyer un peu avant de partir. — Chuis con ! Bien sûr qu’on va te nettoyer. — Stan, ouvre la porte et aide-moi à la mettre sur la terrasse. Stanislas obéit sans dire un mot. Ils me prennent sous les aisselles et m’amènent dehors ; j’arrive difficilement à marcher. Ils me laissent tomber à genoux et se mettent l’un à côté de l’autre devant moi, la bite à la main. Je m’approche pour les sucer, les yeux à demi-clos, quand je reçois un premier jet chaud. J’ouvre plus les yeux, et là je les vois en train de commencer à me pisser dessus. Ils m’inondent de leur pisse chaude. — Voilà, cousine, comment on lave des chiennes de ta trempe ! Je n’en reviens pas : ils n’ont aucune limite ! Une fois fini de me pisser dessus, les deux frères rentrent dans leur mobile-home et ferment la porte, me laissant là, souillée de foutre et de pisse, les seins à l’air et le body encore dégrafé. Après de longues minutes, les yeux dans le vague en pensant à tout ce qui vient de se passer, j’entends un bruit sur la terrasse. Je tourne la tête et vois ma tante sur une chaise en train de se doigter tout en me regardant. Sans un mot et péniblement, je me lève et descends de la terrasse pour rejoindre mon mobile-home. Sur le chemin, je m’arrête plusieurs fois car mes jambes ne me tiennent plus. En traversant le terrain de foot désert pour aller plus vite, je tombe même à genoux sur la pelouse ; je sens un courant d’air sur ma fente. En remettant mon body, je ...