1. Un an de bonheur (Anne-Laure, Marie et moi)


    Datte: 07/04/2021, Catégories: ffh, hplusag, jeunes, amour, fsoumise, humilié(e), contrainte, Oral fist, Partouze / Groupe fdanus, sm, confession, couple+f, fsoumisah,

    ... nous. Ça a été très bref, très cru, presque violent. Puis je lui ai demandé de nous présenter son corps afin de nous montrer ce qui désormais était à nous lors de nos jeux érotiques, elle s’est levée et après mise à quatre pattes, jambes écartées, un peu maladroitement et en rougissant beaucoup : elle s’est montrée à nous comme une fille de peep-show, pendant une dizaine de minutes. Et après on est allés au lit, j’ai ordonné à Anne-Laure de l’embrasser et de commencer à la caresser et après j’ai rejoint les deux filles. Crois-le ou pas, la première fois, nous avons eu tous les trois un plaisir très simple, très intense et très tendre, sans aucun jeu de domination ni de soumission. Les fois d’après… ça a été différent. Lentement, Marie est devenue un pur objet de plaisir, à ma disposition dans un premier temps, à celle d’Anne-Laure ensuite, lorsqu’elle a découvert qu’elle était dominante avec les femmes. Il m’est arrivé de punir Marie très sévèrement (j’étais vraiment fâché, il faut dire…), de la prendre sans la prévenir, d’user d’elle brutalement, par ses trois orifices que j’ai remplis de mon sexe l’un après l’autre (la bouche, puis le sexe, puis à nouveau la bouche, et enfin les fesses, où j’ai eu mon plaisir), il nous est arrivé de l’humilier, de la rabaisser, et très souvent de nous servir d’elle ou d’exiger qu’elle nous serve. Toujours elle nous a dit qu’elle se sentait faite pour ça : ses jouissances étaient nombreuses, très longues et très intenses. Très ...
    ... ironiquement, Marie préparait une thèse sur la notion de liberté chez Spinoza : ce qu’elle étudiait avait vraiment peu de rapport avec ce qu’elle aimait vivre ! Elle était *très* soumise et dévouée, se vivait comme une esclave, comme un objet, comme une femelle de compagnie, comme un petit animal domestique : toujours prête à notre service, comme l’est une jeune catin, comme doit l’être « la petite salope de ses maîtres, toujours ouverte, toujours mouillée » (c’est elle qui le disait). Aussi, nous avons eu la chance que Marie prenne une contraception (elle avait un petit ami qu’elle aimait fort, mais qui n’a jamais été au courant de ce qui se passait…) ce qui fait que rien ne nous était interdit dans les actes d’amour et de volupté – peut-être est-ce une sensation que bien des jeunes femmes ne connaissent pas encore : sentir le sexe d’un homme entrer en elles, couler en elles, sans ce maudit bout de caoutchouc… Marie rêvait de gang-bang et d’être prise comme un animal : pour son anniversaire de 21 ans, nous l’avons emmenée dans un club échangiste (endroit par ailleurs très glauque, à mon avis) où nous l’avons donnée en pâture aux hommes et aux quelques femmes qui se trouvaient là : elle a été prise quinze fois, successivement ou simultanément, par qui le voulait bien, tandis que nous la regardions et que nous la tenions fermement pour qu’elle reste docilement à la disposition de ceux et celles qui la prenaient – je crois que jamais je ne l’avais entendue crier si fort aux moments de ses ...