1. Un an de bonheur (Anne-Laure, Marie et moi)


    Datte: 07/04/2021, Catégories: ffh, hplusag, jeunes, amour, fsoumise, humilié(e), contrainte, Oral fist, Partouze / Groupe fdanus, sm, confession, couple+f, fsoumisah,

    ... orgasmes. Et puis un soir… Ce que nous avons fait ce soir-là à Marie, j’en avais envie depuis longtemps et avec Anne-Laure, nous avions évidemment tout combiné par avance. C’était quelques mois après le début de notre sorte de couple à trois. D’abord, il faut préciser quelque chose que ceux et celles qui omettent de caresser convenablement l’anus de leur partenaire ne savent sans doute pas : la paroi qui sépare le vagin et le rectum (qu’on veille me pardonner ces mots un peu techniques et peu agréables) est très mince, tellement mince que si on introduit un doigt dans chacun de ces conduits et qu’on pince un peu (sans faire mal !) ou qu’on frotte les doigts l’un contre l’autre, on les sent (comme si on avait, par exemple, simplement mis un gant de ménage en plastique et qu’on se frottait les doigts), c’est d’ailleurs une sensation très agréable aussi bien pour la personne qui fait la caresse que pour celle qui la reçoit. Donc ce soir-là, nous avons appelé Marie dans notre chambre… Anne-Laure et moi étions sur le lit, enlacés, en train de nous embrasser et de nous caresser. J’ai fait signe à Marie de s’asseoir sur une chaise et je me suis occupé d’Anne-Laure, j’ai saisi ses poignets, j’ai ouvert ses cuisses d’un coup de genou et je l’ai pénétrée : je l’ai remplie, je l’ai comblée, puis je me suis retiré – bien avant le plaisir évidemment. Pendant tout ce temps, Marie était restée assise, nue, sur un siège à côté du lit et attendait en nous regardant, cuisses écartées et une ...
    ... main sur son sexe : patiente, immobile. Alors j’ai demandé à Anne-Laure de « préparer » Marie, dans notre langage d’amoureux cela signifiait l’exciter et la faire mouiller (Anne-Laure adorait le goût du sexe de Marie, et son odeur la rendait folle), la lubrifier aussi, pour que je puisse la prendre plus facilement. Anne-Laure s’est agenouillée devant Marie, a écarté plus encore ses cuisses, les a soulevées très haut et les a posées sur ses épaules, tandis qu’elle lui léchait le sexe, le périnée, l’anus, tout en empoignant et caressant ses seins. Au bout d’un moment, Anne-Laure a glissé un doigt, puis deux, dans le sexe de Marie, puis elle a fait de même avec son anus ; bien sûr, je la regardais faire. Quand elle l’a jugée prête, elle l’a conduite vers moi. Marie s’est mise au-dessus de moi et Anne-Laure a guidé mon sexe vers le sien et elle l’a empalée. Après, elle a appuyé sur ses épaules pour que Marie s’allonge, elle lui a attrapé les poignets et les a liés dans son dos. Elle a aussi noué une cordelette à chacune de ses chevilles, cordelettes dont elle a noué les autres extrémités aux pieds du lit : Marie était totalement prisonnière. J’ai enlacé Marie très fortement, je lui ai ordonné de se cambrer puis de ne plus bouger, j’ai saisi ses fesses entre mes mains, je les ai caressées et écartées. Et Anne-Laure a doucement introduit un doigt entre les fesses de Marie, elle l’a fait tourner dans le petit trou pour élargir celui-ci sans lui faire mal, elle l’a enfoncé de plus en ...