Complicités téléphoniques
Datte: 07/04/2021,
Catégories:
ff,
jeunes,
telnet,
amour,
noculotte,
odeurs,
intermast,
Oral
légumes,
fdanus,
jouet,
lettre,
... bien qu’on vous entend parfaitement. Alors, continuez aussi, on s’excitera aussi par téléphone. Et me tournant vers toi, en jouant les inquiètes : — Elles ont des godes au moins ces gamines ? Chantal Je n’ai pas le temps de répondre, Marion le fait à ma place. — Oui, oui ! On a pris ceux de Chantal ! Mais ils sont trop gros, Babette me prête le sien, celui qu’Aline lui a offert, on le partage. Je suis effondrée. En deux secondes, voilà que tu en sais plus que la plupart de mes copines sur mes petits secrets. Je songe un instant à dénier, après tout je ne te connais qu’à peine, mais à quoi bon ? D’ailleurs tu as conquis mes protégées. Babette enchaîne en t’expliquant que je leur avais promis justement qu’on les essaierait ce week-end. — Ben oui, explique-t-elle, je veux pas faire mal à Marion, j’ai pas assez d’expérience, moi ! Marraine avait dit qu’elle serait avec nous pour nous montrer et pour nous aider. Je regarde pudiquement ailleurs pour ne pas voir le large sourire que tu affiches. — C’est pas très gentil de nous laisser seules, ronchonne encore Babette avant de s’interrompre dans un petit cri : oh, arrête de mordiller les orteils, Marion ! Et la voix de celle-ci, un peu étouffée, de rétorquer : — Tu le fais bien avec Chantal, toi !— Toi aussi, répond l’autre, t’as rien à dire !— Si !— Non ! Ça y est, les voilà qui se chamaillent encore. On entend des bruits de lutte, des protestations, des rires, des gloussements, des succions, des respirations saccadées, qui se ...
... terminent en échange de baisers. Heureusement, ça finit toujours comme ça, elles ne se disputent jamais longtemps, ça tourne vite aux câlineries affectueuses. Tu as écouté patiemment, avec un petit air amusé et quelques clins d’œil complices chaque fois que j’étais concernée par leur dialogue. Au début, j’aurais voulu disparaître dans les profondeurs du canapé. Tu t’es rapprochée de moi. Tu as posé ta tête sur ma poitrine, léchouillant ici un téton, là une éclaboussure de chantilly, m’embrassant une aréole, me caressant le ventre, étalant complaisamment les derniers morceaux de banane sur mes nymphes, t’en servant pour masturber mon clitoris sous son capuchon, récupérant malicieusement une purée de banane à la cyprine au fond de ta chatte pour me la faire goûter. Je me suis détendue, j’ai oublié ma gêne, je t’ai rendu tes caresses, reprenant mon massage de ta raie d’un doigt inquisiteur. Nous finissons comme mes coquinettes, dans un long baiser de bouches soudées et de langues mêlées. — Qu’est-ce que vous faites ? On vous entend plus, s’inquiètent les deux pestes. Je réponds mollement que nous prenons un peu de repos. — Tu as joui, Chantal chérie ? On ne t’a pas entendue.— C’est parce qu’elle avait la figure entre mes cuisses, ça étouffe les cris de plaisir de jouir en mangeant une foune ! leur expliques-tu.— Mais écoutez bien, je vais vous faire entendre si elle est mouillée, cette coquine ! Tu colles mon téléphone sur ma cuisse et tu m’infliges un doigtage en règle, à trois ...