Complicités téléphoniques - Histoires de Sexe

Complicités téléphoniques

... laisse-moi leur parler d’abord. Puis à voix haute, j’appelle mes deux coquinettes : — Mes puces, ça va ? Vous devriez aller vous débarbouiller un peu, et vous coucher bien sagement. Oui, oui, je sais que vous êtes prêtes à danser toute la nuit, mais un peu de repos vous fera du bien. Après un silence j’ajoute : et ne verrouillez pas la porte, j’ai oublié mes clefs. Bisous, mes puces. Je coupe la communication. — Tu sais, Sophie, je crois qu’on ferait bien de nous débarbouiller, nous aussi, j’ai l’impression que ma peau colle de partout, et pas qu’à cause du sucre de la chantilly ! Tu as sans doute un coin toilette ici ? En plus, je t’avoue que j’ai un grand besoin de faire un petit pipi, dis-je en te souriant tendrement. Puis, regardant autour de moi pour essayer de localiser la porte des toilettes, je m’exclame : — Remettre un peu d’ordre autour du canapé ne serait pas inutile non plus, avant de partir. Je ne sais même plus où est ma culotte… Ah, c’est vrai, je n’en avais pas ! Pas plus que toi, ma grande vicieuse ! J’éclate de rire en me blottissant dans tes bras. Sophie Ta proposition est la sagesse même. — Oui, tu as raison, tu as même une douche. J’aimerais bien la prendre avec toi, mais si on continue à s’amuser, on ne partira jamais d’ici ! Donc, pendant que tu prends ta douche, je nettoie, puis je me douche. Au fait, tu ne m’as pas dit. Tu habites loin ? Et comme tu me réponds que non, que tu es venue à pied en faisant les boutiques, je reprends : — Bon, eh bien, ...

... dans ce cas, on ira chez toi avec mon scooter. Je te passe un casque. Et puis tu verras, cul nu sur la selle, c’est super. Et il y a même mieux, je te propose des boules de geisha. Avec leur manie de mettre partout des pavés en ville, tu verras l’effet super que cela donne. C’est jouissif. Je te rejoins rapidement sous la douche pour te glisser dans la main mes boules. — Bon, je ne m’attarde pas, pour pas me laisser tenter ! Puis, sans rien dire, je vais prendre des godes dans un tiroir et les glisse dans mon sac. Un quart d’heure après, nous sommes prêtes et partons. — Dis, en chemin, je te propose de passer par une épicerie de nuit pour acheter quelques bananes et de la chantilly. Je suppose que tes petites coquines apprécieront. Tu acquiesces et on démarre. Tu me tiens serrée. Je glisse tes mains sous mon chemisier. Tes mains en coquille me servent de soutien-gorge et je sens tes caresses, tandis que nos vagins sont excités par nos boules remuées par les soubresauts de la route. Tes mains se crispent sur mes seins. Après l’arrêt à l’épicerie, on repart, tu me dis : — On est presque arrivées. Tu tournes deux fois à gauche. Et quelques instants plus tard : — Là, arrête, on y est ! Chantal : Je n’ai pas osé te le dire, mais il y a des lustres que je n’étais pas montée sur un scooter. J’étais toute crispée là-dessus, et tes boules de geisha s’en sont données à cœur joie. J’ai bien failli perdre la tête à plusieurs reprises si je ne m’étais agrippée à toi. Tes seins doivent garder ...